Depuis juin 2011 les Causses et les Cévennes sont
inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO au titre de paysage culturel de
l'agro-pastoralisme méditerranéen. Cette reconnaissance consacre la valeur d'un
site exceptionnel dont les paysages ont été façonnés par la main de l'homme
depuis des millénaires. Aventurez-vous dans ce lieu d'exception à l'aide d' une
association cyclotouriste passionné, véritables gardiennes du temple, elle
vous emmènera au cœur du bien classé jusqu'au parc National des Cévennes, seul
parc national habité de manière permanente en France
métropolitaine.
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Depuis 8ans, c’est au Camping de la Croix
Clémentine à Cendras en périphérie de la capitale des Cévennes
Alès (une des 5 villes portes des Causses et Cévennes) dans un
havre de paix à l’entrée de la Vallée du Galeizon site classé Natura 2000
qu’est donné le rendez-vous
de la concentration de Tandems en Cévennes, la recette pour un
bon week-end : Un site magnifique, une bonne météo, une passion commune, , un groupe d’amis,
la bonne humeur et la simplicité.
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3 jours et 220 km pour découvrir un
échantillon de ce vaste territoire, son l'histoire et sa culture qui ont
fait émerger un « petit pays » à forte conscience identitaire,
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un passage par la Bambouseraie d' Anduze et le
gigantisme des végétaux, le sentiment de bien-être qui en émane, la
Bambouseraie semble avoir toujours existé. Elle est pourtant née, en 1856,
de la volonté d'un seul homme Eugène Mazel dont les serres de la
Bambouseraie en Cévennes portent encore le nom. Passionné d'horticulture
et de sciences naturelles, il entame ses premières plantations sur
le site actuel de la Bambouseraie en Cévennes en 1856, en acclimatant
des espèces exotiques venues de Chine, Japon, d'Amérique du Nord et de
l'Himalaya... Depuis 1902, la famille Nègre préside aux destinées de la
Bambouseraie en Cévennes en n'ayant de cesse de multiplier les espèces, ouvrir le parc au
public et développer les plantations.
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En direction de la "Suisse Cévenole" un passge à
Lasalle village typique des vallées cévenoles, construit en bordure
de la rivière Salindrenque. Dès le XIème siècle, des moines bénédictins
créent un monastère sur un promontoire, La Mouthe et des établissements
agricoles. Tôt converti au protestantisme, Lasalle fut le berceau des
prédicants de la Réforme qui tinrent, dès janvier 1686, les premières
assemblées du Désert. Plusieurs filatures de la soie, aujourd'hui désaffectées ou reconverties,
témoignent de son riche passé industriel.....
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...de nombreux châteaux ou
gentilhommières surplombent la vallée de la Salindrenque. Par des routes
pittoresques, nous découvrons une nature préservée, l'histoire et ses
émouvants vestiges, une culture cévenole singulière et
attachante.
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L'histoire de Sainte Croix
de Caderle, est principalement liée aux événements de la «
Guerre des Cévennes » et à la ville d'Anduze qui devint l'un des
principaux centres de ralliement des protestants au cours
des XVIIème, XVIIIème siècles. En juin 1622, le duc
de Rohan organisa à Lasalle, au pied de Sainte Croix de Caderle,
l'assemblée générale de la province du Languedoc. |
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La chapelle est élevée au rang de
prieuré vers 1420. Entre 1653 et 1663, la chapelle est reconstruite. Elle
est brûlée en 1703 pendant la guerre des Camisards. Les réparations se
succèdent jusqu'à la Révolution où l'église et la cure sont classés "biens
nationaux". En 1802, la chapelle et le cimetière sont donnés au culte
protestant.
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Historique d'une petite église cévenole
Selon le cartulaire de Notre Dame de Nîmes, la
présence d'une petite communauté, identifiée sous le nom de villam
Caderilam, est attestée en 892. Malgré des sources manuscrites
laconiques jusqu'au début du XVème Siècle, l'histoire de l'édifice a pu
être écrite à partir des documents conservés principalement aux archives
départementales et municipales.
En 1384, Sainte Croix de Caderle, Sancta Crux de
Caderlio, comptait seulement un feu, soit un groupe composé de 4 à 5
personnes. L'existence d'une église est attestée seulement à partir du 27
octobre 1420, lorsque un jeune prêtre, Bernard Carrière, fut solennelle
nommé à Sainte-Croix. |
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De nos jours temple protestant, la
chapelle romane, dont une partie d'origine subsiste, est adjacente à des
fortifications datant des guerres de religion. A l'extérieur, une table d'orientation
offre une magnifique vue panoramique jusqu'au Mont Lozère, aux falaises du
Vercors, au Mont Ventoux et au phare de
l'Espiguette. |
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Saint-Jean-du-Gard, au cours de la Révolution française, la
commune porte provisoirement le nom de Brion-du-Gard. La
ville connut une grande période de prospérité à partir du XIXe siècle jusqu'au milieu
du XXe siècle grâce à
l'élevage du ver à soie et la culture
du mûrier qui permet de nourrir ce dernier. Au plus fort de
cette période la ville ne comptait pas moins de 21 filatures, dont la plus
connue reste la filature Maison Rouge. En 1965, La Maison Rouge
ferma, coïncidant avec la fin de cette période prospère pour la commune.
La ville de Saint-Jean-du-Gard vit maintenant en grande partie
du tourisme. Un train à vapeur parcourt notamment la ligne
de Saint-Jean-du-Gard à Anduze, avec un arrêt à
la Bambouseraie qui attire chaque année près de 150 000 voyageurs. |
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L'écrivain écossais Stevenson relate sa randonnée entreprise en automne
1878 : la traversée des Cévennes à pied. Parti du Monastier dans la
Haute-Loire et cheminant vers le sud, il traverse toute la Lozère pour
atteindre douze jours après Saint-Jean-du-Gard dans le Gard, au terme d'un
périple de 195 km.Son unique compagnie
est l'ânesse portant son bât, Modestine, avec laquelle, malgré des débuts
difficiles, il finit par tisser tout au long du voyage des liens affectifs
forts.Au gré des rencontres et des villages traversés, il évoque quelques
épisodes marquants de la guerre des Camisards, période tourmentée dans
l'histoire de cette région protestante.Après la mort de Stevenson, le
succès du livre et l’engouement pour le voyage qu'il relate se
développèrent rapidement, au point qu'à l'occasion du centenaire du
voyage, en 1978, un itinéraire de randonnée fut mis en place, pour
permettre aux amateurs de répéter le voyage d'aussi près que possible. Cet
itinéraire fut ensuite intégré au réseau des chemins de grande randonnée
sous le nom de GR 70, appelé le « chemin de
Stevenson ».
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Le Col d'Uglas,
Col
emblématique des cyclistes
locaux, puisqu’il fut gravi qu'une fois par le tour de France en 1960,
lors de l’étape Millau- Avignon, année mythique où la carrière d’un
grand champion Roger Rivière s’arrêta net dans un autre col Cévenol, le
col du Perjuret
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Le paysan cévenol valorisait au mieux
les potentialités de sa terre et pouvait survivre dans des lieux isolés.
L’emplacement de sa maison devait se trouver en contrebas d’une source et
à mi-pente pour être abrité des vents. Un bon ensoleillement, surtout en
hiver, était aussi important que la nature du sol (hameau de Chalap ou
Charnavas).Chaque partie du terrain était utilisée suivant ses qualités.
Les parties de roche massive lui servaient de fondation pour adosser ses
bâtiments. Les parties plus plates, rares et précieuses en Hautes
Cévennes, étaient réservées aux cultures et pour ne pas les gaspiller. On
construisait dans la pente ce qui permettait aussi de bénéficier d’une
bonne exposition au soleil.
Le
bâtisseur cévenol utilisait ce qu’il trouvait sur place. Pierre sur
pierre, il édifiait un espace protégé pour les bêtes et sa famille. Il
utilisait le savoir faire transmis par ses ancêtres. Au début, il n’ y
avait que la maison principale avec sa grande cheminée, la cuisine était
l’unique pièce à vivre, parfois partagée avec les bêtes. Avec
l’augmentation du cheptel on bâtissait des étables, souvent accolées à la
maison.
Ensuite,
la grange, le puits, la clède, le mûrier, le four à pain. La famille
grandissait, on surélevait la maison, rajoutait une deuxième, plus petite,
en prolongation de la première. Chaque bâtiment était adapté à l’usage.
Construit avec soin, en harmonie avec son paysage. Le bâtisseur
Cévenol taillait des charpentes en châtaignier, montait des toits en
lauzes et pour les plus riches, on utilisait des mortiers et enduits en
terre, mélangées à la chaux pour sceller les murs.
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Dès 419, date de la constitution du
diocèse d'Uzès, un sanctuaire chrétien remplace le monument primitif, sur
l'emplacement de l'actuelle église paroissiale. Au Xllème siècle, les
moines qui défrichèrent les environs y construisirent une petite église
romane de 4 m. sur 8 m., dont subsistent encore deux arceaux. Ce lieu de
culte fut transformé au XVIe siècle en une église de 12 m. sur 4 m. qui a
subsisté, plus ou moins restaurée, jusqu'en 1875. En 1327, Raymond Pelet, seigneur
d'Alais, fit hommage à Guillaume III de Mandagout, évêque d'Uzès, pour ce
qu'il avait dans la paroisse de Sénéchas et en divers autres lieux.
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La guerre de 1914-1918 et la fin de
la période minière ont été très néfastes pour la commune mais ses
habitants ont su rebondir. L'alimentation de la commune en eau
courante a été réalisée entre août 1964 et 1967, par une entreprise, les
habitants et 3500 Scouts venant de toute l'Europe PHOTOS
ARCHIVES A la même époque, des jeunes de
toutes nationalités, appartenant à l'association des "Compagnons
bâtisseurs", ont participé à la réalisation du lotissement de l'Esfiel et
construit le lotissement des Bastides |
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Saint-Ambroix, l’éducation des vers à soie a fait la richesse de la
ville au XIXème siècle. Chaque foyer élevait des vers à soie. Les maisons
étaient surélevées d’un étage pour accueillir la magnanerie, vaste pièce
bien aérée et équipée de cheminées à chaque angle. Toute la famille
participait, pour le ramassage de la feuille du mûrier, le décoconnag. Ce
petit élevage permettait d’avoir un peu d’argent pour améliorer
l’ordinaire. On comptait alors de très nombreuses filatures dans le
canton. Les usines donnaient du travail à des centaines de jeunes filles
et de femmes malgré des conditions de travail très difficile. On
dénombra jusqu'à 28 filatures à Saint-Ambroix employant plus de 1000
ouvrières. Mais en 1854, une terrible maladie apparaissait et décimait
les « magnans » (nom occitan du vers à soie qui signifie le
mangeur). La production s’effondra, ce fût la fin de l’âge d’or. On fit
appel à Louis Pasteur qui vînt s’installer à Alès en 1865. Après 3 années
de recherche, s’apercevant qu’il y avait 2 maladies : la pébrine et la
flacherie, il mit au point une méthode de sélection sous microscope qui
éliminait les lots contaminés : le grainage cellulaire. L’espoir revînt
chez les éleveurs.
A partir de 1870 le rendement augmenta à nouveau
mais bientôt les soyeux Lyonnais délaissèrent les soies Cévenoles pour les
soies d’Orient, meilleur marché. En 1900 Saint-Ambroix ne comptait plus
que cinq filatures. La dernière filature (filature Silhol
dîte du Titet), ferma ses portes en 1958.
L’industrie de
la soie a laissé son empreinte dans l’architecture de nos villages. Les
ateliers de filatures sont facilement identifiables grâce aux hautes baies
en plein cintre qui les caractérisent.
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Une Halte gourmande sur 1000
mètres carrés de friandises Philippe Dura En plus de ses délicieux
nougats, confectionne des fruits à coques enrobés, du praliné, de la pâte
à tartiner, du pain d’épices et de la pâte de fruits. Un joli panel de
confiserie artisanale et de qualité que nous découvrons et
dégustons sans modération |
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Reconnus pour leur qualité, la plupart des
nougats ont reçu de belles médailles lors de différents
concours.
En 2013, le nougat blanc tendre aux
griottes confites a été récompensé d’une Médaille d’Or au concours
du Gard Gourmand en 2013. L’année suivante, c’est le nougat
blanc tendre au miel et pistaches qui a obtenu la Médaille d’Argent
au concours Militant du Goût en 2014. Quant au
le nougat blanc tendre aux écorces de citron confit et au thym, celui
ci a reçu la Médaille d’Argent au concours Gard Gourmand en
2013 et la Médaille d’Or en 2014 ! Et cette année, c’est le nougat blanc
tendre aux écorces d’orange confites et à la fleur d’oranger qui
s’est fait décerné la Médaille de bronze, tandis que le nougat blanc
tendre aux lamelles de citron confit a obtenu
la Médaille d’Argent à ce même concours du Gard
Gourmand 2015. |
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Le nougat est venu rejoindre les produits du terroir
Cévenol au même titre que la
châtaigne vedette des montagnes cévenoles.
Emblématique des Cévennes, le pélardon autrefois
appelé pélardou ou péraudou, le pélardon est l’un des plus anciens
fromages de chèvre d’Europe. La brandade de morue, ses origines
sont étonnantes : en effet, la morue n'existe pas en Méditerranée ! En
revanche, le sel y est récolté, et c'est ainsi que les mottes des Salins
se troquaient contre la morue des marins pêcheurs du Nord et de
l'Atlantique.L’oignon doux
des Cévennes, culture traditionnelle des Cévennes viganaises se
distingue par sa texture très tendre et la délicatesse de son goût qui en
fait un oignon “haut de gamme”. L’olive, le piémont cévenol
compte nombre d’oliveraies, l’huile d’olive vierge est obtenue
uniquement par des procédés mécaniques. Pur jus de fruit, elle n’a subi
aucun traitement chimique, la tapenade, grande spécialité
du Sud à partir de l’olive, s’utilise en gastronomie et accompagne
agréablement l’apéritif. Les vins des
Cévennes : La viticulture représente la
principale activité agricole du piémont cévenol et de la vallée de la Cèze
: 13 000 ha sont plantés en vignes, soit 20 % de la surface viticole du
département du Gard.
À travers les marchés locaux et les
restaurants, venez retrouver ces goûts et ces parfums d'un terroir
naturel, culturel et authentique !
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Aux portes d'Alès la
Capitale des Cévennes, La Vallée du Galeizon, site expérimental de la
réserve de biosphère, offre un tourisme vert. Cet espace
naturel préservé est caractérisé par une nature sauvage, des rivières
d’eau pure où vivent des castors, un important patrimoine culturel,
historique et architectural. Au sein d’un environnement remarquable par
ses paysages, sa faune, sa flore et sa géologie, le paysan cévenol, comme
jadis le mineur de fond, ont su trouver leur place, tout en respectant ce
lieu sauvage. |
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Cette
magnifique vallée sauvage et méritante se situe en limite des départements
du Gard et de la Lozère, elle s'échelonne de trois cent à mille mètres
d'altitude. Son biotope est relativement varié |
La Vallée du Galeizon possède une histoire
riche en sites préhistoriques, en passé industriel et agricole.Les crêtes
schisteuses, les bords de la rivière, les forêts de châtaigniers et de
pins peuplées de chevreuils, sangliers, etc. sont propices à de belles
randonnées |
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A cheval sur deux départements, la vallée du
Galeizon présente une diversité de relief impliquant une géologie
caractéristiques. Il est donc intéressant de se pencher sur ses
caractéristiques afin de pouvoir découvrir la diversité des paysages
s’y rattachant. |
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La vallée du Galeizon est séparée de la Vallée
Longue par le plateau calcaire des Serres et par la ligne de crête du
Mortissou culminant à 899 mètres d’altitude au signal de Lichère et à 890
mètres au signal Saint-Michel. A l’Ouest, elle est limitée par le col du
Pradel ou col de Prentigarde, en contrebas duquel le Galeizon prend sa
source. La crête de la Vieille morte, culminant à 924 mètres au Serre de
la Capelle, et la crête du Montcalm, culminant à 699 mètres, constituent
les limites sud-ouest et sud-est de la vallée. Elle débouche à l’est au
pied du Puech, à 145 mètres d’altitude, dans le Gardon d’Alès, aux portes
de l’agglomération alésienne. |
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La Table, c'est l'endroit de détente et de convivialité
par excellence. |
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Le pique-nique évoque le partage et la
convivialité, À la différence de la barre de céréale pris
à la va-vite, le pique-nique est un repas agréable, profiter du
beau temps, de la nature, mais aussi un prétexte pour se
retrouver entre amis, aujourd'hui associés aux loisirs, autrefois aux travaux
des champs, mais pourrait aussi être une réminiscence du « manger
nomade » |
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Au camping, c'est
l'auberge espagnole, chacun avec ses spécialtés que l'on partage.Théâtre
de rencontres, de
palabres, de discutions sans fin, de
conclusions, du pas vers l’autre choisie
au hasard du destin. |
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L' AMITIE est un bien qu'il faut posséder, mais
aussi qu' il faut donner
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Si l'on
veut se retouver, il faut bien se quitter ....
Merci à Nicolas, Marc et Roland de nous avoir
accompagné *
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