Notre camp de base depuis 2009 se situe au  camping de la Croix Clémentine, un  lieu particulièrement calme, dans un bois de chênes verts et d’acacias, le camping se situe à 5 kms au Nord-Ouest de la ville d’Alès (dans le Gard), à l'entrée de la  vallée du Galeizon classée Narure 2000. L’accueil y est des plus chaleureux.....
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....Le verre de l'amitié sur la place des cyclistes où chacune et chacun peut déguster les produits régionnaux des différents participants qui se colturera par la présentation du long week-end. Un périple de 200 km pour découvrir des lieux touristiques d'Autour d'Alès au Pays de Garrigues et des Terres  cévenoles aux vallées des Gardons.
Samedi  d'Autour d'Alès au Pays de Garrigues	*
		Au hameau du Soulier, ancienne  usine de chaux hydraulique Gavet, puis cimenterie du Soulier, époque de construction : 2e moitié 19e siècle.  Barre principale de 5 fours côté à côté, adossée à la roche, au pied de la carrière de calcaire ; chaque gueule débouche dans une halle couverte en berceau plein-cintre ; le plus à droite (côté est) , plus spécialement destiné au ciment, avec cheminée conique en brique ; au sommet, bandeau portant l' inscription assez effacée, Sté du Soulier, ciment Portland artificiel et chaux hydraulique ; autre four isolé, sans halle, un peu à l' ouest et un tout petit à usage indéterminé ; surface bâtie de 800  m2.
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Entre vignoble et garrigues. Aux portes des Cévennes, ces terres sont dominées par le Mont-Bouquet, très apprécié des cyclistes amateurs de raidards à escalader. Ce territoire abrite mille et un trésors, dont de charmants villages blottis à ses pieds. De superbes paysages entre vignes et garrigues  traversés par des dizaines de kilomètres de petites routes tranquilles pour flâner.
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		Le pique-nique sur le site de la table d'orientation qui est le point le plus élevé de la commune de Vézénobres, culminant fièrement à 219 mètres. De ce lieu, vous embrassez les Cévennes, les derniers contreforts du Massif Central, mais également les hauts plateaux caussenards jusqu'au Mont Lozère, la ville d'Alès, toute proche, capitale des Cévennes et la  Gardonnenque. À vos pieds, le confluent des Gardons d'Alès et d'Anduze, avec, d'un côté, les collines où se nichent les villages de Cassagnoles, Maruéjols-lès-Gardon ou Saint-Bénézet, et de l'autre côté, les garrigues que domine le Mont Bouquet, du haut de ses 619 mètres.
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Labellisée “Village de Caractère”, témoin de 1000 ans d’architecture et d’histoire, Vézénobres domine d’un côté les garrigues, de l’autre la plaine des Gardons, avec en toile de fond la chaîne des Cévennes. 1000 ans d’architecture s’inscrivent dans ses pierres…Étape majeure sur l’ancestral chemin commercial et pèlerin de la Régordane -reliant le littoral méditerranéen au nord du Massif Central-, la cité offre un lacis de ruelles et d’escaliers ainsi que des points de vue panoramiques à couper le souffle ! De nombreux témoignages architecturaux racontent l'histoire mouvementée de Vézénobres : la rue des Maisons Romanes, la Porte Sabran du XIIIè siècle, les passages voûtés, les étroites ruelles pavées, la Maison d'Adam et Ève d'époque Renaissance, la Grand'Rue...
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		Retour dans la capitale des Cévennes par la boucle Cyclo-découverte des Prairies et la voie verte en longeant le Gardons. Le centre d’Alès, riche de belles pierres comme la Cathédrale Saint-Jean ou le Fort Vauban,   Notre-Dame des Mines l'Ermitage se repère de fort loin, signalé par son sanctuaire. La chapelle: A été construite aux XIe et XIIe siècles par les chanoines Augustins et s'appelait alors Saint Julien des Causses.  Alès fut l'un des berceaux des charbonnages des Cévennes, à l'époque de Pierre-François Tubeuf et des premiers entrepreneurs du charbon français. Le charbon de terre est exploité depuis au moins le XIIIe siècle. La pénurie de bois qui survient au XVIIIe siècle stimule son exploitation.  Dans les années 60, le maire de la ville, Paul Béchard a rasé toute la vieille ville avec l'ambition d'offrir plus de confort aux Alésiens. Une décision discutable et très controversée qui donnerait aujourd'hui un tout autre visage à Alès. mais aujourd'hui Alès est devenu un espace du bien vivre. Le parcours ICI
	*	Dimanche. Direction La Terre Cévenoles
Aux contreforts du Mont-Lozère, de la vallée du Galeizon à la Vallée Longue de la Grand’Combe,  les paysages sont ici exceptionnels. La Grand’Combe, pays de traditions, de savoir-faire et d’histoire, le Puits Ricard (classé monument historique) et la Maison du Mineur rappellent avec émotion l’histoire locale, intimement liée à l’extraction du charbon. Mais il y a tant à découvrir au détour d’une route  entre bruyères et châtaigniers, vous apprécierez la beauté des paysages et la richesse du patrimoine local : architecture de pierres sèches et maisons au toit de lauze, mais aussi un savoir-faire traditionnel notamment avec la culture du châtaignier.
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		…de petites vallées schisteuses au relief accidenté dont les sommets à l'horizon se teintent de la même couleur bleue. On les appelle les « vallées des gardons », ces rivières claires, torrentueuses parfois, qui roulent à l'automne en gardonnades intempestives. C'est ici, dans la « Cévenne des Cévennes », que s'est en partie écrite l'histoire des camisards, « ces résistants protestants dont les temples dominent encore les vallées, pareils à des citadelles » ......
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.....Au coeur du Parc national des Cévennes, le bâti reste particulièrement préservé, tant au niveau des habitations que des temples, des églises romanes, des maisons fortes, des châteaux témoins de petites seigneuries… L'identité des Cévennes se lit dans le territoire à travers des lieux emblématiques
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		Dans la vallée du Galeizon Saint Martin de Boubaux au cœur des Cévennes, dans la vallée du Galeizon, les amoureux de calme, d'authenticité, de grands espaces naturels sont comblés de découvrir ce territoire qui procure un sentiment de bien être et de grande liberté. Dés le 16eme siècle, une majorité des habitants de Saint Martin faisaient parti des Nouveaux Convertis puisqu'un jugement des conseillers du Présidial de Nîmes condamne les habitants de Saint Martin de Boubaux , disciples de la Religion prétendument Réformée à 25 livres d'amendes!
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La châtaigneraie est encore présente. Parfois le long des méandres d'un gardon ou sur une terrasse se dresse un arbre d'or (le mûrier) qui succéda à l'arbre à pain (le châtaignier), arbre nourricier s'il en fut, pour les hommes autant que pour les animaux, durant des générations. Deux arbres liés à l'histoire économique du territoire, car le mûrier reste emblématique d'une activité séricicole démarrée sous Henri IV, qui connut son apogée en 1850, avant d'être anéantie par la pébrine, une maladie qui ravagea des élevages entiers de vers. que Louis Pasteur est venu enrayer.   De nombreux routes traversent ces vallées qui offrent, sur les hauteurs des vues imprenables sur les Cévennes. Le parcours de la Journée Ici
Lundi : Vallée des Gardons	*
		La vallée des Gardons, c’est le terrain de jeu idéal pour les amoureux de randonnées à vélo, d’activités de pleine nature, et de baignade en rivière.
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Aux portes d’Alès, ce col d'Uglas est naturellement très pratiqué par les cyclistes locaux. Il est situé sur le versant Nord de la vallée du Galeizon, et assure le passage vers la vallée du Gardon de Mialet en direction de St Jean du Gard, voire Anduze. A partir du carrefour en direction de St Martin de Boubaux, l’ascension débute réellement. La pente est très régulière la route d’abord couverte par la végétation, suit le lit du Galeizon, puis la vue devient dégagée, ce qui permet l’observation de la vallée dans son ensemble et d’une partie du massif vers la vallée Longue. L'arrivée est au bout de 10 km d'assencion et 416 m de dénivelé.
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		Pour l'anecdote: Le tour franchira le  col d'Uglas qu'une seulle fois en 1960 : 14ème  étape Millau – Avignon. c'est Pierre Beuffeuil qui passe en tête au sommet.
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La petite bourgade de Mialet qui se trouve au milieu de cette vallée fût un haut lieu de la résistance protestante au XVIe siècle qui prirent le nom de "camisard". A la sortie de la bourgade, le "pont des Camisards", achevé en 1718, L'historien bien connu Philippe Joutard qui a étudié cette période a parlé de "camisardisation" pour évoquer la tendance à rattacher à cette épopée des lieux et des événements, qui n'ont rien à voir avec l'histoire proprement dite des camisards, ainsi le fameux pont des camisards de Mialet construit bien après 1705. Il est bien entendu que les Camisards n'appartiennent pas à Mialet, même si Mialet est un haut lieu du protestantisme.elle a le mérite, entre autres, de rappeler que dans cette vallée on se souvient que les Camisards combattaient pour la liberté de conscience. l'histoire de nos ancêtres a marqué les Cévennes et incite toujours à résister pour la liberté. La belle vallée de Mialet s'honore d'être la vallée des Camisards..
		Le Train à vapeur des Cévennes. En 1879, la ligne gardoise est un projet de la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM) qui ouvre en 1881 la ligne de Lézan à Saint-Jean-du-Gard reliant Alès à Saint-Jean-du-Gard , mais il faut toute la conviction de René Boudon, banquier et filateur, puis maire et conseiller général pour que le projet se transforme en réalité. Créée à Strasbourg en 1979 autour de Benoît Zielinger, la Citev était, à l'origine, une association à but non lucratif née de la volonté de faire circuler occasionnellement des trains historiques à vapeur privés tractés par la 140 C 27 sur les lignes de la SNCF et de faire de la figuration cinématographique.Ces passionnés sauvent la ligne des Cévennes et créent l'association « Train à vapeur des Cévennes », le projet de train touristique devient réalité le 3 juin 1982. L'exploitation est un succès, le train transporte environ 30 000 voyageurs chaque saison, mais les membres se séparent et mettent fin à leur association en 1985. Le 1er mai 1986, elle a repris l'exploitation de la ligne touristique du train à vapeur des Cévennes. L'association a été transformée en société (SAS) en 1987.
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A Anduze,(BPF FFCT) La tour de l’Horloge, la fontaine Pagode, le temple protestant (un des plus grands de France, la rue droite et ses boutiques aux étals colorés,un patrimoine riche de nombreux édifices classés rend compte des épisodes tumultueux de ces anciens haut-lieux du protestantisme cévenol. Il témoigne aussi de leurs riches heures, grâce au négoce de la laine et de la soie et aux nombreuses filatures. A quelques pas du centre ville  le parc des Cordeliers. Ses jolies allées qui traversent pelouses, bambous, cèdres et autres magnolias incitent tant à la contemplation qu’à la détente et à la rêverie. Mais Anduze est surtout et avant tout la capitale du célèbre Vase d’Anduze. Perpétré encore aujourd’hui, ce savoir-faire local, vieux de 400 ans, s’exporte dans le monde entier. Ajoutez à cela la possibilité de visiter la plus grande bambouseraie d’Europe   Le Parcours de cette journée Ici
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		La concentration 2018 se termine. Mais bien au-delà de ses richesses propres, Alès  se situe aussi à un carrefour stratégique et se pose en véritable camp de base pour tous ceux qui voudraient y découvrir de multiples horizons.
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La réussite de telle rencontre c’est : l’amitié et la convivialité, peut être aussi l’esprit camping qui permet plus de détentes aux retours de ballades, sans oublier les apéros qui cette année ont été arrosés, les membres de Cyclo Rando Alès en Cévennes, Albert, Denis, Malik, Gilles et Marc venues  prêter main forte.  En 2020 nous fêterons les 10 ans