Séjour en Piemont Cévenol
du 22 au 29 mars à la Gardiole à Conqueyrac

		Le territoire de Conqueyrac est couvert par des zonages ayant trait à la protection de la biodiversité, des milieux naturels et des paysages. Il est situé sur le bassin versant du Vidourle, sur l’unité paysagère « Plaine du Vidourle de St Hippolyte du Fort » et dans l’emprise d’une zone importante pour la conservation des oiseaux , d’une Zone de Protection Spéciale du réseau natura 2000 directive oiseaux dite gorges du Rieutord, Fage et Cagnasses, d’une superficie totale de 12 308 hectares.
Située entre Sauve et Saint Hippolyte du Fort, dans le département du Gard, "La Gardiolle" est une propriété de landes, terres et vignes.Au centre un grand parc, plein de sérénité, se prête à la réflexion et à la méditation. Les premiers reliefs des cévennes donnent à ce lieu une beauté un peu rude mais saisissante. Son histoire
		Ce séjour orgnanisé sous l'égide du Codep30 dont le maitre d'oeuvre est Antoine Boug-Rius qui organise ce séjour depuis 4 ans pour faire découvrir le Piemont Cévenol,  un succès, une demande de plus en plus forte pour y participer. Cette année 45 participants(es) venus de la moitiée nord de la France, avec deux Britaniques et deux Belges, Louis et Jean Claude ont pu s'y imprégnier dans le cadre de leur formation de moniteur Tourisme à vélo et d' y participer en tant que stagière.
Le programme  des circuits de 80 à 100 km chaque pour découvir la richesse touristique du Piémont Cévenols. A Cyclo Rando Alès en Cévennes  nous défendons l’idée que nos Cévennes régénèrent le corps et l’esprit. Ce rêve de nature que porte le Piémont Cévenol, la dimension sacrée de ses montagnes, la qualité naturelle de ses produits, la simplicité enfin des relations en font un pays qui ressource. Loin du tourisme de masse, le tourisme à vélo en Cévenne s’envisage à taille humaine. Propice à la rencontre, à l’échange avec l’habitant, il facilite la découverte des valeurs phares du pays cévenol : Nature, Créativité, Partage, Bien-être aussi, le tourisme est-il pour nous un acte de partage : de notre patrimoine vivant, de nos activités de bon-vivre, c'est ceux que cherche à découvrir les participants (es) à ce séjour.
		Faire découvrir l'accueil chaleureux des cyclos Gardois, nous les avons accompagné à la concentration du Roc de Gachonne  découvrir un patrimoine cyclotouriste GardoisEn 1943, Monsieur Georges ARTRU, pâtissier de son état, appartenait au club des Cyclo-Touristes de Montpellier. Il eut l'idée d'inviter ses collègues à venir déguster des gâteaux à Calvisson. La concentration du Roc de Gachone était née.Elle s'est perpétuée jusqu'à nos jours sans interruption. Elle rassemble chaque année les cyclos et cyclottes, venus de toute la région, pour manger en toute amitié, des grillades et le gâteau des Rois, sur le roc. Notre doyen et président Marcel BOSC toujours aussi heureux de nous recevoir.
Sur ce séjour pas moins de trois sites classés au Brevet des Provinces Françaises Ce séjour leur fera décourir aussi d'autre site comme Villevielle et Sommières...
		Les 4 Vents!!! nons pas le centre de la FFCT mais le restaurant à l'entrée du châteaux de Villevielle.
L'origine du château remonte au XIe siècle, possession des Bermond, seigneurs de Sauve et d'Anduze. Vers 1240, saint Louis dépossède Pierre Bermond, petit-fils du comte de Toulouse, de tous ses biens en Bas-Languedoc. Saint Louis, séjourne au château en 1270, avant de partir pour la huitième croisade. Pierre Scatisse, trésorier royal acquiert le château en 1365. En 1529, Bernard de Pavée achète le château qui reste depuis lors en sa descendance.Les guerres de Religion n'épargnent ni Sommières, ni Villevieille. Lors du troisième siège de Sommières, Louis XIII signe le 17 août 1622 la capitulation de la ville au château. Contrairement à ses voisins, le château ne subit aucun dommage lors de la Révolution. De 1913 à 1960, le château inoccupé se dégrade. En 1960, Le comte et la comtesse de David-Beauregard entreprennent la restauration du château et reçoivent le prix de Chefs-d'œuvre en péril en 1968.
		Le pont au-dessus du Vidourle fut construit au Ier siècle par l'empereur Tibère afin de relier Nîmes à Toulouse.Il était initialement constitué de plus de 20 arches pour une longueur totale de plus de deux cents mètres. Ses dimensions étaient ainsi suffisantes pour enjamber le lit "normal" du Vidourle et assurer la liaison entre les deux rives, malgré les nombreuses crues du capricieux fleuve. Sommières fut érigée au Xe siècle en grande partie sur le pont (dont il ne reste ainsi que 7 arches visibles), à même le lit mineur du fleuve, ce qui explique les nombreuses inondations dont est victime la ville lors des débordements du Vidourle. Sommières fut un des fiefs principaux de la Maison des Princes d'Anduze, Satrapes de Sauve, et de leurs cousins les Roquefeuil-Anduze. Ces deux familles seigneuriales, de grande importance régionale, y battaient monnaie, dans un des ateliers de la ville, entre les années 1220-1266.
Ce qui impressionna le groupe, c'est le niveau des inondations. Le Vidourle prend sa source dans les Cévennes, dans le département du Gard, au-dessus de Saint-Hippolyte-du-Fort, sur la commune de Saint-Roman-de-Codières (alt. 630 m), au nord de la montagne de la Fage qui culmine à 931 m. Il se jette dans la Méditerranée, 95,2 km plus loin au Grau-du-Roi. Autrefois doté d'un delta, il a vu son cours détourné durant la seconde moitié du XXe siècle, d'une part par l'installation de portes sur le canal du Rhône à Sète, l'empêchant de rejoindre la Pointe de la Radelle où il se jetait dans l'étang de l'Or ou de Mauguio en cas de crue, d'autre part lors de la construction de la station balnéaire de La Grande Motte au milieu des années 1960. Insuffisamment canalisé vers la mer et ne bénéficiant plus de ses zones d'expansion naturelles, ses eaux s'écoulent avec grande difficulté en cas de « vidourlade » (crues dangereuses). Le Vidourle présente une particularité : son cours est partiellement souterrain en aval de Saint-Hippolyte-du-Fort, où le fleuve se faufile pour former un vaste plan d'eau souterrain d'où il se libère par la résurgence de Sauve — des études ont montré, à partir de colorations scientifiques de ses eaux, que celles-ci se retrouvaient à la source du Lez, le Vidourle, géniteur du Lez, irrigue donc Montpellier,
		De sa source jusqu’en amont de Saint-Hippolyte-du-Fort, en passant par le village de Cros, Vidourle a l’allure d’un torrent alpestre, dévalant sur des roches imperméables en une très forte pente. A Saint-Hippolyte même, il n’a plus guère d’eau en temps normal   La Fontaine de Sauve est une véritable curiosité. Elle jaillit au pied même de la cité sous une voûte de roche tapissée de lierre. Bouillonnante et écumeuse aux grandes eaux, elle demeure intarissable. Elle est Vie et source de Vie. Pendant la période gallo-romaine, le culte continue et des thermes sont aménagés auprès de la source. Au moyen âge les Bermond, satrapes de Sauve, la protègent et la placent sous la protection de l’abbaye. La source et ses dépendances, avec les deux moulins banaux qu’elle actionnait, l’un à huile et l’autre à blé, furent propriété de l’abbaye jusqu’à sa disparition lors de la Révolution. Dans leur état actuel, la fontaine et ses installations remontent à l’année 1763. Entre Sauve et Quissac, Vidourle prend son allure de fleuve ; sa flore et sa faune s’affirment, ses rives sont riantes et ombragées. Plusieurs barrages successifs avaient été établis pour faire tourner des moulins ; presque tous ne sont que ruines aujourd’hui.
Le département du Gard se dote de plus en plus de voies vertes,Les Voies vertes sont réalisées sur des itinéraires autonomes réservés aux déplacements doux non-motorisés : randonneurs, cyclistes, mais aussi rollers, trottinettes, ou encore personnes à mobilité réduite. Accessibles à tous, les voies vertes  sont particulièrement adaptées aux promenades en famille : c’est la voie royale pour se mettre ou se remettre en selle ! Entre Camargue et Cévennes, en passant par le Piémont et le Sommiérois, les voies vertes sont un merveilleux moyen pour découvrir les paysages préservés et les villages pittoresques du Gard.   Voie Verte de l'Espiguette,.à la découverte du littoral gardois...Partie du vaste projet "Via Rhôna, du Léman à la mer", longue  de 5 km,elle progresse à travers l'un des 3 sites classés du Grand Site de la Camargue gardoise. Voie verte du Martinet à Beaucaire, en direction du Pont du Gard Cette voie verte de 4 km constitue le premier tronçon d’un projet plus ambitieux de Voie Verte qui reliera Beaucaire à Remoulins, et sera aménagé sur l’emprise d’une ancienne voie ferrée appelée autrefois Le Martinet d’une longueur totale de 18 km. Voie Verte du Sommiérois et de la Vaunage Sommières - Caveirac Piste aménagée sur l’ancienne voie ferrée reliant Nîmes à Sommières, elle est consacrée à toute pratique de loisir vert. Marcheurs, coureurs, fauteuils roulants, rollers, vélos, poussettes y sont les bienvenus… Ce sont au total un peu plus de 20 km qui sont librement accessibles à tous, petits et grands, juniors et seniors, seul ou en famille, en toute tranquillité.
		Voie Verte en Camargue gardoise Vauvert - Gallician longe le canal Philippe Lamour, sur plus de 5 kilomètres. lle rejoint la boucle de cyclo-découverte de la Camargue gardoise et offre ainsi la possibilité d’effectuer à pied ou à bicyclette un itinéraire de 22 kilomètres sur les RD 352, RD 104 et RD 381.   Voie Verte La Promenade du Viaduc Molières-Cavaillac. Sur une ancienne voie ferrée, venez à la découverte des paysages cévenol.Réservée aux promeneurs et cyclistes, la "Promenade du Viaduc" déroule un parcours de 3,5km. Idéal pour une balade en famille. Voie Verte Quissac-Sauve Elle emprunte le tracé de l'ancienne ligne de chemin de fer Nîmes / Le Vigan via Sommières et Quissac. Dédiée aux piétons, cyclistes, rollers et aux personnes à mobilité réduite, cette voie, longue de 5 km, offre une belle balade à la découverte des deux villages et de leurs sites remarquables : moulins, Ponts Vieux, Conservatoire de la Fourche..   Voie verte d'Alès Cette belle Voie Verte permet d'assurer la traversée urbaine d'Alès en toute sécurité du nord au sud, le long du Gardon et des boulevards qui le bordent. Elle relie de nombreux quartiers et le centre-ville. Cet axe cyclable nord-sud va constituer l'épine dorsale du futur réseau cyclable de l'agglomération d'Alès. Il va aussi s'intégrer dans la Véloroute régionale et nationale nord-sud Lozère-Alès-Quissac-Sommières-Nîmes, qui reste à construire pour l'essentiel. Des boucles de découverte L'association : « Partageons la route en Cévennes »et Cyclorando Alès en Cévennes  proposent sur leurs sites une agréable « Boucle Cyclo-Découverte Alès-Nord ». C'est une boucle de découverte de la vallée du Galeizon sur la commune de Cendras (près de 20 km)  ave un parours thématique de 4 km sur le sberge du gardon où vous trouverez 23 paneaux thématiques ouvert aux VTT VTC. Ce tracé est entièrement  jalonné. Deux autres boucles sont prévues dont celle de la boucle touristique du col d'Uglas par Cendras, St Paul-la-Coste, Mialet, le musée du Désert, la bambouseraie de Prafrance et Anduze(+ /- 55 km. Celle au sud la boucle des Prairie 17km en projet.
Cette première journée en guise de mise en bouche , déjà très apprécié des participants pour la qualité des sites traversés durera tout au lon de la semaine.