Randonnée à Pouzilhac
Journée Codep
Samedi 14 juin 2014

 Pouzilhac est situé sur l'ancienne voie Romaine de Nîmes à Albas (Ardèche). Ebloui de lumière dans son creux de garrigue, c’est un village typiquement languedocien, qui a été habité dès l'Antiquité. Les Romains ont laissé de nombreuses traces de leur occupation. Pouzilhac est un village rural marqué essentiellement par des activités consacrées à l’agriculture et tout particulièrement à l’activité viticole.

Les Rouges et Blanc de Cyclo Rando Alès en Cévennes étaient au rendez-vous de AMICALE CYCLISTE POUZILHAC .pour cette première randonnée                                                                                     
Nous voila partie sur le parcours de 90 km qui nous amènera au porte d'Alès entre garrigue et vignobles en traversant des vilages typiques Languedociens.
Nous avons traversés bon nombe de villages de charmes, La commune de La Capelle-Masmolène est constituée de la réunion de deux bourgs géographiquement distincts : La Capelle, et Masmolène, distants de quelque 800 m.
Depuis 1814, les deux agglomérations ont été rassemblées en une seule commune, cependant chacune possède encore son église, son bâtiment public qui abritait école et mairie, son château. Les deux villages sont nichés sur le versant sud d’une colline boisée, séparés par un amas de rochers de grès et de quartzites aux couleurs ocres et rouges. L'étang de la Capelle (42 ha) avec ses chevaux, ses jeunes taureaux, est le refuge de nombreuses espèces d’oiseaux et de quelques spécimen rares de batraciens. Le château et le village sont inscrits à l'inventaire des Sites Pittoresques du Département du Gard depuis 1970.

Le célèbre écrivain suisse Charles François LANDRY a vécu quelques temps à Pougnadoresse vers 1930. Il a dans ses livres décrit avec beaucoup de poésie et de réalisme notre petit village. Pougnadoresse est situé sur une crête rocheuse qui s’étire d’Est en Ouest.  Au nord le village domine la vallée de la Tave au-delà de laquelle on trouve Mas Carrière hameau du village.  Au sud s’étendent en pentes douces les prairies verdoyantes qui peuvent lors des fortes pluies d’automne se remplir d’eau et se transformer en un véritable petit étang.

Pougnadoresse ce village battu des vents, 
bâti sur la roche et parmi les roches, ne trouvait à se défendre qu’en se couvrant encore de roches sur les toits."

 Le tourisme à vélo peut être viticole. Le tourisme dans le Gard, et en particulier dans la vallée de la Tave, est rendu encore plus agréable par la présence de caves et de domaines viticoles.Au cœur du vignoble des Côtes du Rhône, n’hésitez pas à vous y arrêter afin de vous faire présenter les vins rouges, vins blancs et rosés.a boire avec modération.

Verfeuil est une paroisse du doyenné de Saint-Marcel-de-Careiret, succursale érigée par décret du 17 prairial an XIII (soit le 6 juin 1805) ; sa population, toute catholique, est de 711 âmes en 1805.La paroisse avait naguère deux églises :L'une, toute petite, dans l'intérieur du village, solidement bâtie, du titre de Saint Marc, qui servait pour les offices de la semaine et l'administration des sacrements.L'autre, à 500 pas du village, auprès du cimetière, en style roman du XIIe siècle, mais ne remontant qu'à 1613, époque où elle fut relevée des ruines que les protestants y avaient faites ; cette église, qui était proprement l'église paroissiale, était peu solide, elle a été abattue, ses matériaux ont servi à la reconstruction d'un édifice plus convenable, qui a été livré au culte en 1875.L'église, le presbytère et un grand nombre de maison du village furent incendiés par les camisards, en février et en mars 1703.

Au XIXème siècle, Lussan atteint son apogée avec le développement de la production de la soie. La population dépasse les 1600 habitants. On plante des mûriers, les mas et maisons se remplissent de magnaneries, trois filatures fonctionnent dans le village.L'ouverture des frontières à la soie pratiquée par le second Empire va ruiner cette industrie. Les conséquences de la Grande Guerre de 1914-1918 contribueront par la suite  à une désertification progressive du pays avec la diminution du nombre d'exploitations agricoles. Aujourd'hui Lussan et ses hameaux prennent conscience de la richesse de leur patrimoine historique et culturel, de leurs atouts environnementaux et climatiques. Agriculture, artisanat, et tourisme deviennent les trois principaux piliers du développement de la commune.

 

Les concluses de Lussan, au cours de la descente vers le lit du torrent, un escarpement rocheux s'ouvre sur un plan boisé entouré de magnifiques rochers. Tout au fond, après être passé sous le "portail", goulet par où passe l'eau lors des fortes pluies, on découvre un extraordinaire lieu. Au fond des gorges, on circule au travers des escarpements rocheux, séduit par le silence et la beauté sauvage de ce lieu. La promenade ne peut avoir lieu que l'été et il est recommandé de ne pas s'y aventurer seul.
 
     
  Comme les bovins nous aussi sommes les sous les coups de la challeur extrème qui avoisine les 32°
     
l'arrivée au village de Fons-sur-Lussan lieu du ravitallement apparait blotti dans un cadre de verdure bien connu des cyclos pour sa fontaine bienfaitrice....  
L'eau est un bien indispensable et précieux, particulièrement dans nos régions, surtout au plus fort des chaleurs estivales, tant pour les êtres humains, que pour les animaux, les fruits, les légumes et la nature en général. Fons est indissociable de sa fontaine, située à l'entée du village au croisement des routes de Lussan, Rivières et chemin de Vendras elle devenue son emblème, son image et un point de rencontre.
Au milieu du XIXème siècle, le nombre des habitants est de plus de 500 âmes. Le puits commun ne peut fournir la totalité des besoins en eau des villageois et des animaux. Le besoin se fait sentir d'avoir une autre alimentation en eau. Il est envisagé la construction d'une fontaine, elle serait alimentée par une source, "qui ne tari jamais" située au quartier Majoufrès à environ 700 mètres.
Le Mont Bouquet culmine à 630 mètres d’altitude. Deux routes y conduisent : la première, au départ de Navacelles, passe par le village de Bouquet puis par le col du bourricot ;

la seconde part du village de Brouzet-les-Alès. A son sommet se trouve outre le relais de télévision la tour de vigie des sapeurs pompiers, très utile en période de sécheresse.
La vue panoramique est exceptionnelle, par temps clair on peut apercevoir la Méditerranée, le Mont Ventoux à l’est,le Mont-Aigoual et les contreforts des Cévennes à l’ouest
La chapelle et la statue de la Vierge sont depuis des décennies un lieu de pèlerinage pour les fidèles.

Un cairn est un amas artificiel de pierres. On les trouve la plupart du temps sur les reliefs, les tourbières ou au sommet des montagnes. Ce terme est souvent utilisé en référence à l'Écosse, mais peut aussi être utilisé dans d’autres lieux.

ls remplissent plusieurs fonctions baliser un sentier traversant un sol rocailleux ou aride, ou traversant un glacier repérer le sommet d’une montagne ;marquer un site funéraire ou célébrer les morts ;baliser la présence d'une grotte, certains de ses accès ou passages intérieurs.En outre, les cairns furent utilisés pour commémorer toutes sortes d'événements : un site de batailles, un endroit où un chariot fut renversé, etc.Ils peuvent varier de simples amas branlants à de savantes prouesses de construction. En certains lieux, des jeux sont régulièrement organisés pour déterminer celui qui construira le plus beau cairn.

L’abricotier est un formidable arbre fruitier qui exige quelques soins avant la récolte des abricots mais dont la culture est très facile. La plantation, l’entretien et la taille sont importants pour éviter les maladies et assurer un bon développement à votre abricotier.


C'est à la fin du XVIII° siècle que la construction des lavoirs a débuté. En réaction aux problèmes de pollutions industrielles et d'épidémies, ces constructions ont été voulues par le pouvoir politique. Sous Napoléon III, une loi a prévu un crédit spécial qui subventionne à hauteur de 30 % la construction des lavoirs et, à partir de 1850 l'édification de ces éléments d'urbanisme s'accélère. Reflet de la communauté qui a commandé la construction, l'unité architecturale liée au territoire n'existe pas et la décoration de ces édifices utilitaires succombe aux modes. Sobres ou monumentaux la construction de l'édifice répond à certaines constantes. La taille de la construction varie selon la population qui devait avoir accès à "l'eau courante" pour les lessives et le cas échéant, abreuver le bétail.
Nous voila de retour s appercevons les façades et toitures du château et des communs, au premier étage la pièce située au nord-ouest avec le plafond peint et la cheminée ainsi que la cheminée située dans la pièce sud-ouest et en totalité la chapelle seigneuriale jouxtant l' église paroissiale inscription par arrêté du 15 janvier 1998. Edifice d’aspect pittoresque et original remanié au 19e siècle mais ayant conservé beaucoup d'éléments médiévaux, entre autres, cuisine au rez-de-chaussée qui pourrait être médiévale . A l'intérieur du château, très beau plafond du 17e siècle du salon, cheminées. Petite chapelle seigneuriale du 18e siècle. L'aile des communs, sur la cour d'honneur, date de la reprise des maisons de village à la fin du 19e siècle.
  Propriétaire : propriété d'une personne privée
  Date de protection : 15/01/1998 inscrit Momument Historique

 

Comme promis, après la pasta parti, cette journée ne fut ppas une journée ordianaire puisque nous fêtions l'anniversaire de mariage de Corine et Bruno .

Une belle journée, chaude et conviviale comme nous les aimons