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1 Château des ducs de Bretagne
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2 - Passage Pommeraye |
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3 - LE LIEU UNIQUE Conçu par l'architecte Mathurin Crucy, il est inauguré le 23 mars 1788.Le bâtiment est ravagé par un incendie le 27 août 1796. Seul le magasin d'habillement est épargné. En 1805, l'École de dessin, ancêtre de l'école des beaux-arts de Nantes, y est hébergée. Le théâtre est reconstruit à partir de 1811, à la suite de la visite de l'empereur Napoléon Ier, à nouveau par l'architecte Mathurin Crucy, en collaboration avec le sculpteur Dominique Molknecht, et de nouveau inauguré en 1813.Dès 1868, il est soumis à la concurrence du nouveau théâtre de la Renaissance possédant une capacité de plus de 3 000 places. Cette rivalité dure jusqu'en 1875, date à laquelle ce dernier sera racheté par la ville. Les deux théâtres, désormais administrés par le même directeur, deviendront complémentaires. La salle de la Renaissance prendra même le relais lors de travaux de réfection à Graslin durant la saison 1870-1880 sous la direction de Jourdan-Blondel. Le théâtre de la Renaissance disparaîtra lors d'un incendie en 1912. | |
4 - Le Grand Eléphant |
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5 - Ile de Nantes et architecture contemporaine | |
6 - Trentemoult et La Loire |
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7 - La Cigale | |
8- Cathédrale C’est aujourd’hui la plus belle cathédrale restaurée de France. La pureté et l’harmonie de son style gothique flamboyant cache un chef-d’œuvre Renaissance, le tombeau de François II, dernier duc de Bretagne. |
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9 - Jardin des plantes | |
10 - rivière flâner sur l’eau Il se dit que François Ier avait du goût. C’est en fait absolument certain puisqu’il nomma l’Erdre “plus belle rivière de France”. Telle une petite Tamise elle ignore les routes, préférant offrir aux regards ses manoirs, parcs et châteaux. occupent sur la Loire des locaux industriels recyclés. |
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11 Le Nid c'est un très bel endroit. enfin, la ville de Nantes a rendu au peuple ce qui lui appartient, après l'avoir caché tant d'années : la magnifique vue panoramique sur la ville. rien que pour ca et pour la déco ce bar vaut le détour, sinon, il ne s'y passe rien d'exceptionnel. | |
12 Biscuiterie LU C’est en 1846 que Jean-Romain Lefèvre (né le 7 avril 1819 à Varennes-en-Argonne) s’installe à Nantes pour y reprendre une pâtisserie au no 5 rue Boileau dans un immeuble appartenant aux armateurs Dobrée. Sur le conseil de son épouse Pauline-Isabelle Utile, il nomme le commerce « Fabrique de biscuits de Reims et de bonbons secs » (il s'agissait probablement de bergamote de Nancy) où il vend ses propres productions et le fameux biscuit anglais Huntley & Palmers. Les pratiques du jeune pâtissier, alors âgé de 27 ans, et de son épouse (elle aussi originaine de Varennes-en-Argonne), sont différentes. Il vend les biscuits variés sortis du four situé dans la cour. Son frère Louis s'est installé dès 1840 à Nancy pour y fonder une biscuiterie-confiserie dénommée « Lefèvre-Denise », qui est toujours en activité sous le nom « Lefèvre-Lemoine ». Les recettes proviennent de l'est et bousculent les habitudes des Nantais qui consomment des biscuits anglais ou de mers. La fabrication de biscuits de luxe fait sa renommée. La maison LU est née. Elle construit son succès sur la qualité de ses produits mais aussi sur la constance de sa production. |
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