Montselgues Sortie à la
journée
Mardi 21 aout 2018. Sortie proposée
par Daniel Bonhomme
Ces chaos
constituent une partie du plateau de Montselgues qui correspond à une pénéplaine
plaine formée par l'érosion environ -250 millions d'années. Ce plateau s'étale
sur un axe nord-sud, bordé à l'ouest par la Borne et à l'est par le ruisseau de
la Thines. Sa base est composée de granites Après une période d'érosion intense
qui a aplani les reliefs à la fin de l'ère primaire.
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Le départ de Foussignargues en direction de Malon
par la cote de long surplombant la vallée de la Cèze |
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Trait d'union entre les
civilisations côtières et celles des montagnes du massif central, la
vallée de la Cèze a favorisé les échanges de cultures...... . |
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.....Voies romaines, culture de la
vigne, de l'olivier et des céréales, culture du mûrier et élevage du ver à
soie... mais aussi dolmens, menhirs, stèles, grottes, maisons fortes,
châteaux, vieux ponts et calades font la richesse de ce
territoire |
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L’église se situait à la jonction de deux chemins : celui
venant de Bonnevaux et passant par Les Bouschet et Brouzet et l’ancienne
route gallo-romaine d’Aujaguet venant des Mourèdes vers Brésis puis la
jonction avec la Regordane à Ponteils, que l’on appelle La Cézarenque. Ces
deux chemins marquaient aussi les limites des communautés villageoises :
au nord celle de Bonnevaux, à l’est celle d’Aujaguet et au sud celle de
Sénéchas. Elle s’étale sur un plateau de bonnes terres, près d’une source
toujours existante, elle occupe une position centrale dans la paroisse
d’Aujac. |
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Symbole du double pouvoir de l'évêque
d'Uzès et de la famille d'Anduze, le Cheylard d'Aujac s'installe au XIIe
siècle au centre de la haute vallée de la Cèze en Cévennes, sur un éperon
à proximité du Mont Lozère. Perché à 600 m d'altitude, au carrefour des
actuels départements du Gard, de la Lozère et de l'Ardèche, du haut de son
promontoire, il est le dernier représentant intact d'un réseau de
fortifications sur un itinéraire déjà existant au Moyen Age, mentionné dès
1270 comme Val Cezarencha |
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Saint-André-Capcèze est un petit village Entouré par les communes
de Ponteils-et-Brésis, Villefort et Concoules, Situé à 476 mètres
d'altitude, la Rivière La Cèze, le Ruisseau de Vinras, le Ruisseau des
Bastides sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune du parc
national des Cévennes |
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Riche
en histoire, Saint-André-Capcèze, où la Cèze prend sa source, est une
petite commune d'environ 170 habitants, qui se compose de plusieurs
lieux-dits et hameaux traditionnels, avec de belles bâtisses de style
régordanien, comme à Vielvic. La petite chapelle de Vielvic est romane,
Notre-Dame de la Consolation fut fondée en 1376. |
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Le
1er mars 2012, les obsèques religieuses du trompettiste Maurice
André se déroulaient dans la cathédrale Saint-Jean-Baptiste d’Alès et,
à sa demande, son inhumation avait lieu dans un caveau de la commune
lozérienne de Saint-André-Capcèze, où son père était né. |
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La Borne séparait le Vivarais du
Gévaudan avec le Chassezac, qui se dirige vers l'Ardèche. Le hameau de
Pied de Borne |
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Pied-de-Borne Limitrophe avec les départements
de Lozère, d'Ardèche et du Gard, en zone périphérique du Parc National des Cévennes. |
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La
route très sinueuse s'élève lentement en passant à hauteur des hameaux de
la Panderie puis des Baumes où la route redescend pour franchir la Borne
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....... et pour ensuite remonter jusqu'au sommet du col de la Teste
Rouge.Très forts pourcentages avec de beaux lacets dans la forêt puis
passage devant les fermes du Prévenchet et du Pradon. Partie beaucoup plus
dégagée en arrivant vers le sommet où l'on retrouve de vastes prairies
balayées par le vent entre Ste-Marguerite la Figère et Montselgues : 15
kms à 9% de moyenne |
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Après le sommet du col, la route redescend vers le sud pour
atteindre Montselgues et le gîte étape.. |
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Avis aux
amateurs de solitude ! Pour les amoureux de nature et d'espaces sauvages, Montselgues,
petit village situé au sud de la "Montagne" ,en Ardèche ,en bordure des
Cévennes, à 25 kms des Vans et 30 de Valgorge. Entre 500 et 1200 mètres
d'altitude, une dizaine de hameaux aux noms évocateurs (le Petit Paris,
Teste Rouge, les Cayres, la Borie, Bourbal...) étaient reliés jadis par
des chemins devenus aujourd'hui sentiers de randonnée. Certains d'entre
eux étaient et sont encore en partie empierrés pour mieux résister aux
pluies cévenoles, réputées diluviennes, qui s'abattent sur cette région au
printemps et à l'automne. pour y accéder on peut parcourir des kilomètres
dans une nature préservée, observer une faune et une flore très riches et
découvrir des panoramas de toute beauté. Avec droite le sommet de la Fage
et de l'autre côté, au-delà de la vallée de la Borne, la Lozère. Avec une
paire de jumelles, vous pourrez voir le village médiéval fortifié de la
Garde Guérin, qui lui, domine les gorges du Chassezac. C'est aussi un
endroit propice pour voir des rapaces (circaète, busard cendré,
faucon crécerelle. Vautour….) qui viennent chasser sur le plateau. Malgré
un relatif isolement, la commune de Montselgues a connu depuis une
vingtaine d’années un développement et un dynamisme jamais démentis. A ce
jour, on compte une dizaine d’exploitations agricoles, ce qui permet de
garder des paysages ouverts et très attractifs pour le
tourisme. |
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Amoureux de la nature,
randonneurs, pêcheurs, chasseurs, cueilleurs ou simplement à la recherche
de bon temps, l’ auberge vous est ouverte toute l'année. Découvrez
l'authenticité de l'hospitalité ardéchoise l' auberge "L'aure" (Vent
du Nord en vieux patois) nous accueille dans le village pittoresque
de Montselgues. |
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Une
très jolie table d'hôte à découvrir dans ce village. Elle a le label
bistrot de pays et propose de bons petits plats à petit prix. C'est
un endroit quelque peu intimiste, mais où l'on se sent bien. |
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Le
passage de deux autre s cols en ligne de crête nous font
découvrir de prime abord hostile puisque isolée, la Montagne
Ardéchoise revêt une tout autre allure. La cohabitation humaine et
naturelle a donné naissance à un style de vie authentique, un mode de
fonctionnement un peu à part, une culture et des traditions
préservées. |
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Quasiment inhabitée jusqu'au Moyen-âge, la Montagne Ardéchoise est
progressivement devenue une terre d'accueil et de refuge pour devenir une
véritable entité ardéchoise. Principalement rurale, l'activité de la
population du Plateau Ardéchois s'est également orientée depuis de
nombreuses années vers le tourisme, que ce soit pour l'hébergement ou les
activités de loisirs, tant les visiteurs sont nombreux à venir découvrir
toutes les facettes de ce petit monde à part.A chaque saison, le visage se
transforme… Au printemps, la floraison offre une magnifique explosion
de couleurs et senteurs, où jonquilles, narcisses, violettes, gentiane,
genêts et bien d'autres encore tapissent les vastes prairies. Chèvres,
moutons, vaches et chevaux reprennent possession des lieux et embellissent
un peu plus encore le tableau |
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.L'été, le chaud climat du sud est
atténué par l'altitude. Pas de chaleur écrasante, mais une température
douce et agréable, accompagnée par l'agréable odeur de foin pendant sa
période de récolte.L'automne, le jaune, orange et rouge des feuillages
nous immiscent dans une nouvelle ambiance et nous incitent aux balades
dans les bois, à la cueillette des cèpes. Les cheminées commencent à
chauffer, nous nous imprégnons de cette bonne odeur de bois, et quelque
fois les premiers flocons font déjà leur apparition. L'hiver, c'est un
manteau neigeux qui prend la part belle et transforme une nouvelle fois la
Montagne Ardéchoise. Le phénomène typique de la burle, où vent et neige
poudreuse se mêlent pour créer des congères et limiter la visibilité à
quelques mètres à la ronde, est un évènement à ne pas rater ! Et lorsque
le calme revient, les paysages sont comme sculptés par une neige au blanc
immaculé. |
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PAYZAC est un village en hauteur dont
l'église Saint-Pierre-aux-Liens, dans les temps anciens quand les terres
étaient défrichées, dominait le paysage et se trouvait visible de tous les
hameaux de la paroisse. De ses abords on possède une large vue sur le
Bas-Vivarais. |
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Les
civilisations antiques construisent des bassins de pierre pour capter et
retenir l'eau potable, bien précieux, même pour nous au 21ème
siècle!!!! |
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Un moment de rafraîchissement psychologique en traversant
pour la dernière fois le Chassezac |
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Les chemins qui réunissairnt le haut et
le bas pays était jalonné de places fortes. Vers le sud, sur un mufle de
grès venu flairer la grande route menant d'un côté vers la grande abbaye
bénédictine de Saint-Gilles et de l'autre vers la cité mariale du Puy, il
y avait le château de Banne. Imprenable, peut-être vieux de dix siècles,
il brûla pendant la grande Révolution, tout comme la proche Commanderie de
Jalès, depuis laquelle les Templiers, puis les Hospitaliers de Saint-Jean
régnèrent pendant un demi-millénaire sur un peuple de paysans fournisseurs
de blés, de châtaignes, et de convers. |
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Il a fallu attendre le franchissement des cotes des
Assions, du village de Banne et enfin du col du grand châtaignier pour
avoir droit au breuvage salvateur après 124 km et 2000m de
dénivelée |
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Le
Parcours |
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