Les Grands cols des
Alpes
Nul besoin d’aller à l’autre bout du monde pour vous offrir le plus beau
des voyages ! 700 kilomètres, 18 cols mythiques et 14 étapes, la Route des
Grandes Alpes est sans aucun doute le plus majestueux des itinéraires cyclistes
de montagne
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Histoire de
faire un stage en hautes montagnes, certains de nos membres sont partis
hisser les couleurs de Cyclo Rando Alès en Cévennes sur les grands cols des
Alpes |
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Implanté à 1850 m d'altitude, au coeur des
Hautes Alpes, Vars est devenue une des stations les plus convoitées des
Alpes du Sud. Elle côtoie la haute montagne dans un environnement
préservé, nichée au milieu de splendides forêts de mélèzes, avec des
sommets environnants (Massif des Ecrins, de l'Ubaye et du
Queyras) |
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Que vous soyez passionnés ou addict de vélo
de route, découvrez tout ce que Risoul et ses alentours nous proposent !
Le Galibier, l'Izoard, le Col Agnel, Vars, le Noyer... ces cols mythiques,
qui font rêver les cyclistes, ont en commun les Hautes-Alpes. Terre
propice à la pratique cyclistegrâce à son climat, ses paysages et ses
cols, que le Tour de France a porté à la postérité |
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Voici en quelques
mille mots les pensées qui les habitent au départ de cette chevauchée de
cols en cols. |
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Col de Vars (2108m) La vérité des
cimes
Avec plus de 1 000 m de dénivellation sur chacun de ses
versants, le col de Vars est un grand col des Alpes, « l’un des plus durs
avec le Parpaillon, l’Izoard et le Galibier » Très roulant ,
le col réserve quelques surprises dans la dernière rampe de 5 km à 10 % de
pente moyenne, où il vaut mieux ne pas remettre du braquet. Un final qui occupe beaucoup de cyclistes pendant plus d’une
demi-heure ! |
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Pour tous les amoureux du cyclisme, le Galibier est un
mythe ! Reliant la Maurienne au Briançonnais et à l’Oisans, ce col
incontournable pour tout amoureux de la montagne est la Mecque du cyclisme
en France. Pour atteindre ses 2645 m d’altitude, il vous faudra d’abord,
au départ de Saint-Michel-de-Maurienne, passer le Col du Télégraphe (1566
m). Intégrée à la Route des Grandes Alpes, la route du col a été tracée
dès 1870 et ouverte à la circulation en 1911, année où le Tour de France a
franchi le Galibier pour la première fois. Émile Georget se hisse au
sommet, ne mettant pied à terre que pour signer à un contrôle et se
rafraîchir, admettant enfin « n’avoir jamais rien vu de plus dur
! ». Jacques Godet disait de ce col : « Il situe les
vraies valeurs »...... |
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....La vue au sommet s’ouvre sur la Meije (3982 m) juste
en face du col. A l’Est, on distingue bien la vallée de la Guisane qui
coule vers Briançon. Au Sud-Est, quelques hauts sommets se détachent: la
barre des Écrins (4102 m) et le Pelvoux (3946 m). Au Nord, on distingue le
Mont-Blanc (4810 m) par beau temps. Indiqué à 2645 m par la
voirie, mais avec une altitude réelle de 2642 m, le col est fréquemment le
point le plus élevé du Tour de France, bien que dépassé en absolu par le
Col de la Bonette (2802 m au sommet de la route faisant le Tour de la Cime
de la Bonette), le Col de l’Iseran (2764 m) et le Col Agnel (2744
m).
Le parcours
de Daniel |
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L'ALPE D'HUEZ
Le dénivelé est de 1 090 mètres. L'ascension présente un
profil de 13,8 km à
7,9 % de moyenne. La montée de l’Alpe d’Huez est constituée de 21
virages numérotés en ordre décroissant par des panneaux indicateurs
(auparavant, il s’agissait de bornes pour servir de repères aux
chasse-neige) et hormis un virage qui nécessite une relance, les virages
constituent à chaque fois un replat. Entre les épingles, les pentes
oscillent souvent entre 8 et 9 %. L’ascension démarre 600 mètres
après le rond-point avec la RD 1091 (ex-RN 91) à la sortie du
Bourg-d'Oisans. Le premier kilomètre est à 10,4 %. Les trois premiers
kilomètres pour arriver jusqu’à la Garde-en-Oisans et son clocher, au
virage 16, sont proches de 10 %. Le passage de la Garde est un court
replat. Par la suite, la pente s’établit autour de 7 % à 8 %
sans cassure de pente. Après environ 5 kilomètres, la route traverse les
hameaux du Ribot d’en Bas et du Ribot d’en Haut. Ensuite, la route s’élève
et domine très nettement Le Bourg-d'Oisans. À Saint-Ferréol au virage 7 et
au km 7,5 à côté d’un autre clocher, L'Alpe d’Huez et Huez-en-Oisans juste
un peu plus haut que Saint-Ferréol, sont visibles sur les hauteurs. Au
niveau du croisement dit de la Patte d’Oie, la route se partage en
deux : une route à droite vers les stations de ski et la route tout
droit vers le centre de L'Alpe d'Huez, qui est celle parcourue sur le Tour
de France. Bien qu’elle ne soit pas la plus difficile (la Plagne, ou
Courchevel, pour ne citer que des stations de ski visitées par le Tour,
offrent des montées plus ardues), les passages réguliers du Tour de
France, ainsi que le caractère souvent décisif de cette étape, lui ont
permis de se bâtir une notoriété internationale. Ainsi, la montée de
l'Alpe d’Huez est très prisée par les cyclotouristes qui sont chaque jour
en moyenne 300 à effectuer l’ascension. Le Tour de France a
connu sa première arrivée à L'Alpe d'Huez en 1952 avec une victoire de
Fausto Coppi qui pour une première avait gravi la montée en 45 min 22 s, pour une étape qui fut la toute première
arrivée au sommet de la grande boucle. Mais il faut attendre presque un
quart de siècle pour que la station de l'Oisans soit de nouveau au
programme du Tour.
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Encore un
beau projet qui se termine. En fonction des opportunités. il ne faut pas
les manquer la vie est si courte ! Enfin pour le moment, profitons
des beaux souvenirs tout frais |
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