Brevet des 150 km d'Aramon,
Version 2017

Entre sport et culture

Aramon, village provençale située en bordure du Rhône,en face du charmant village de Boulbon et des Montagnettes.
Aramon se situe entre Avignon et Beaucaire , le village d'Aramon s'étale en amphithéâtre au pied de son château construit sur un éperon rocheux
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  Fournès est le plus vieux village du canton. Il a été construit autour d’un château dont il ne reste que quelques vestiges aujourd’hui. Les amateurs de vieilles pierres ne manqueront pas la visite de: la Chapelle Saint Pierre, le centre ancien, les calvaires, le campanile et église, réputé pur sa terre cuite et ses parre-feuilles
     
Connu dans le monde entier pour sa pierre et surtout pour son vin rosé produit sur 960 Ha. L'implantation de la vigne est très ancienne sur Tavel.Dès le XIIe siècle, la communauté du Grand Mont (le fort St André) défriche et plante de la vigne à Tavel. Le Prieuré de Montézargues dépendant de cette communauté fait de même.  
Laudun  une majestueuse statue représentant un pionnier de la Légion étrangère qui monte la garde, imperturbable au trafic routier.
Le village, connu en 1314 sous le nom latin de Codoleto, devient Coudoulet ou Codolet en 1627. En provençal, un coudoulet est un petit caillou, un galet. Un plan d'eau situé à la sortie du village propose un parcours de santé, et de nombreuses balades à vélo ou à pied sont possibles autour des digues etourée de vignes et se situe au bord du Rhône et de la Cèze.
Au XIVe siècle, sur l’initiative de Jean XXII, les Papes choisirent Chateauneuf pour y construire leur résidence d'été, ils décidèrent ensuite de planter une vigne sur les terres caillouteuses qui entouraient leur propriété. La production resta longtemps confidentielle, elle commença à avoir une renommée au XVIIIe siècle et s'affirma véritablement qu'en 1929, date à laquelle elle reçut le titre d'appellation d'origine Châteauneuf-du-Pape.

Ancienne commune du Vaucluse, la commune de Thouzon a été annexée en 1815 par la commune de Le Thor. Un décret du 12 octobre 1813 a supprimé la commune de Thouzon en la réunissant à celle du Thor. Cette décision a été ratifiée par Louis XVIII en 1815.

Bâti sur un rocher de safre coquillier de couleur rousse, le village d'Entraigues-sur-la-Sorgue, anciennement rattaché au Comtat Venaissin (Etat pontifical du XIIIe au XVIIIe siècle) est, aujourd'hui encore, cerné par quelques vestiges de remparts édifiés au XIVe et au XVIe siècle.Tout au long des ruelles étroites et sinueuses, une signalétique de verre renseigne sur les principaux monuments du village telle la Tour dite des Templiers, haute de 30 m environ, construite sans fondation, à même le rocher, aux XIe-XIIe siècles (ancien donjon du Château Vieux). A son sommet, sur la terrasse panoramique, on peut admirer l'étendue de la plaine comtadine, le Mont Ventoux, les Dentelles de Montmirail, les Monts de Vaucluse, le Luberon

L’abbaye Saint-Michel de Frigolet, réside une communauté de chanoines réguliers Prémontrés, appelés aussi Chanoines blancs à cause de la couleur de leur vêtement religieux. Depuis au moins le 12e siècle, les pèlerins montent à Frigolet prier l'archange Saint-Michel et la Vierge-Marie. En 900 ans, de nombreuses générations de religieux se sont succédé dans le monastère dont la première trace prouvée écrite date de 1133. L'abbaye du 12e siècle a été agrandie au 19e, notamment par la construction d'une imposante abbatiale (dediée par la suite à l'Immaculée Conception et à saint Joseph) puis élevée au rang de basilique par le pape Jean-Paul II.

C'est la seconde fois que nous traversons le Rhône, long de 812 kilomètres, il prend sa source dans le glacier du Rhône, en Suisse, à une altitude de 2 209 m, Cet itinéraire cyclable de 815 km, toujours en cours de réalisation, conduit le touriste à vélo, des panoramas alpins aux plages de Camargue, en traversant les paysages emblématiques des vignobles des Côtes du Rhône et ceux de la Provence méridionale : villages perchés, champs de lavande ou d’oliviers, découvertes gastronomiques. ViaRhôna, véritable voie des civilisations égrène ainsi au fil de son parcours plus de 2000 ans d’histoire et de richesses patrimoniales, alternant voies vertes sécurisées et voies partagées.

 Elle est facilement repérable de très loin dans le paysage la de la  centrale thermique qui possède une impressionnante  hauteur de 250 mètres, elle  sert de phare, elle  nous indique que nous sommes pas loin de notre but. 

Une belle balade organisée par nos amis (es) cyclotouristes  Aramonais, certe nous étions pas  en terre inconnue, puisque nous venons régulièrement  découvrir les routes Gardoises du bord du Rhône ainsi que celles du Vaucluse avec nos amis Pontétien, si la matinée était rigoureuse avec 4 °, nous sommes arrivée avec une température estivale de 24°.  146 km au compteur et un parcours plat qui nous a changé de nos Cévennes