Brevet Cyclo-Montagnardes Français.
Bédarieux 2013
La bonne
recette, le projet d'un club et l'association de plusieurs équipes .Un site à
découvrir, un parcours de 230 kms, 13 cols à gravir, 3750 m de
dénivelé Plusieurs options Touriste :
sur une journée et demie, Randonneur : sur une
journée, Jeunes et découverte : permet à
tous de participer et de découvrir les plaisirs de la montagne avec des
circuits plus adaptés en distances et en difficultés. et voici le BCMF de
l'Espinouse.
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Bédarieux offre aux visiteurs un écrin de verdure et un havre de
tranquillité. Entourée par les monts d’Orb, aux portes du Parc Naturel
Régional du Haut Languedoc la ville développe depuis toujours un tourisme
dit de « tutoiement ». Ici, loin du vacarme estival du littoral,
le visiteur se régalera des merveilles de la nature : promenades,
balades gourmandes, randonnées pédestres ou équestres, mais aussi
escalade, cyclotourisme, pêche, vol à voile. En 2009, la ville a obtenu
une Fleur au concours national des villes et villages fleuris.par l’essor
d’une industrie florissante dès la fin du XIIe
siècle, la
ville voit donc se développer rapidement des activités manufacturières. Au
moyen âge, l'industrie lainière s'y développe, ainsi que les tanneries et
les filatures. Les marchés deviennent plus importants. Les mines de
bauxite et de charbon sont exploitées et Bédarieux se modernise au cours
des ans. Marquée par les guerres de religion ou la destruction d’anciens
remparts, ces événements sont autant de soubresauts n’ayant pas toutefois
freiné l’extension industrielle (exploitation des mines et contrecoup du
développement commercial suscité par la construction du Canal du Midi ou
du port de Sète). Bédarieux est dotée d’un Conseil Municipal dès 1790 et
devient chef-lieu de canton à cette même période. |
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Construit en 1853, le viaduc est long de 710 mètres. Avec ses 37
arches, c'est le plus long pont de la ligne de chemin de fer
Graissessac-Béziers qui servait au transport du charbon. Ville-centre de
la haute Vallée de l' Orb, Bédarieux en constante évolution que ce soit au
niveau économique, avec la création de zones d’activité et l’implantation
de nouvelles entreprises, ou au niveau de l'habitat avec un renouvellement
de son parc d’hébergements, tient une place prépondérante dans la vie
locale du grand ouest héraultais. Bédarieux a su reprendre des couleurs
avec un réaménagement considérable de ses quartiers et de son centre
urbain. C’est une ville agréable où il fait bon vivre, qui propose un
éventail de services au cœur d’une nature vallonnée et verdoyante. |
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Pour les
610 cyclotouristes la nature est pour eux un réconfort et un défi
nécessaires. Participer aux différents
brevets afin de découvrir les massifs français comme celui
organisé par le club de Fabrègue qui, après nous avoir fait découvrir
celui de l'Aigoual nous fait découvrir les monts du Caroux
Espinouse situé sur trois départements: Hérault, Tarn et Aveyron. 230
km 13 cols à franchir pour un dénivelé de 3750 m. La difficulté n'empèche pas le tourisme
au vue de la beauté des paysages qui nous sont
promis. |
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Le Caroux-Espinouse appartient au groupe montagneux
appelé monts de l'Espinouse. Le Caroux constitue la partie
méridionale du Massif central la plus rapprochée du littoral
méditerranéen. Il est inclus dans le périmètre du parc naturel
régional du Haut-Languedoc..... |
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....pour nous Cévenol, c'est mélange d' Aigoual, de Finiel et du Mas de
la Barque . La longue litanie va égréner au fur et à mesure des
kilomètres le nom des 13 cols à franchir |
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les Monts du Somail-Caroux-Espinouse, culminant
jusqu'à 1152 mètres et s'étendant sur près de 20 000 hectares au coeur du
Parc Naturel Régional du Haut Languedoc.Situé à 45 km de la Méditerranée -
dans les Hauts Cantons de l'Hérault, entre Cevennes et Montagne Noire - ce
contrefort du Massif Central forme un véritable balcon s'ouvrant sur la
Méditerranée, à travers une variété de paysages à forte identité. Ce
parcours va nous faire découvrir les sites les plus sauvages et les plus
spectaculaires , leur faune et flore endémique et rare. |
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Le Dourdou de Camarès est une riviere qui coule dans les
départements de l'Hérault, de l'Aveyron et du Tarn. C'est un affluent du
Tarn en rive gauche, donc un sous-affluent de la Garonne par le Tarn. À ne
pas confondre avec le Dourdou de Conques qui est un affluent du Lot. Le
Dourdou de Camarès a une eau claire et poissonneuse qui peut virer vers
une couleur rouge ocre lors de gros orages. Elle traverse des zones
géologiques riches en argile ferrique et collecte les eaux de pluie
chargée de cette couleur ocre. Le Tarn qui reste clair par beau temps est
coloré par les eaux du Dourdou lors des fortes pluies.Il prend sa source
dans les monts de l'Espinouse (Hérault) à 1 050 m d'altitude. Dans sa partie initiale,
il marque la frontière entre les départements de l'Hérault et du Tarn.
Entre Fayet et Camarès, le Dourdou serpente dans de larges prairies et son
cours est coupé par de grandes chaussées de moulins. Ses berges sont assez
dégagées. Peu après, il coule dans une profonde vallée et prend un profil
torrentueux en franchissant quelques passages difficiles et superbes pour
les pêches sportives. Ses eaux sont assez rapides, mais à Brusque, il se
calme légèrement dans de belles prairies en formant de longs courants vifs
sur un fond de galets. Grossi par le Nuéjouls en aval de Fayet, le
Dourdou, large de dix à douze mètres, prend son profil presque définitif
de rivière. Il revient en Aveyron près du village d'Arnac-sur-Dourdou et
se jette dans le Tarn, en rive gauche, à Broquiès à 256 m
d'altitude. |
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Le massif du Caroux-Espinouse est reconnu
comme un site naturel remarquable en raison de sa position géographique
particulière. En effet ; le Caroux-Espinouse est un secteur de
« moyenne montagne » à l’interface des influences atlantique et
méditerranéenne ce qui lui confère des paysages variés d’une grande
beauté. Cette hétérogénéité de sites lui permet
d’accueillir une riche biodiversité inféodée à des milieux en
mosaïque : zones humides, tourbières, plateaux, zones rocheuses,
landes et forêts mixtes…
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Le col de Thalis pointe sud de l'Aveyron à
913 m, 14,5 kms d'ascension pente moyenne 5.5% vue imprenable |
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Ici, le relief surplombe le Languedoc. La Méditerranée est proche, et
l’Océan n’est pas loin. De part et d’autre de la ligne de partage des
eaux, l'eau bascule vers l'Atlantique ou vers la Méditerranée : c’est la
«rencontre des deux midis». En la franchissant, voyez comme les
paysages sont différents. Mais partout, une langue et une culture communes
: l’Occitan. |
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Dans un cadre naturel et patrimonial d’exception,
l’ancienne abbaye de Sylvanès est aujourd’hui un haut lieu de Culture,
d’Art et de Spiritualité qui offre neuf mois par an des actions de
formation dans le domaine de l’art vocal mais aussi de nombreuses
rencontres culturelles et spirituelles. |
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La rivière de l'Orb prend sa source dans les
Cévennes et rejoint la Méditerranée. En suivant son cours, l'Orb
creuse une vallée verdoyante, étroit couloir ouvert dans le calcaire
des causses. De jolis villages ponctuent son parcours, avant d'atteindre
les gorges. Avant cela encore, la rivière se fait lac, juste
au-dessus d'Avène. |
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C’est la compagnie du Bas-Rhone-Languedoc qui
construisit le barrage des Monts d’Orb entre 1960 et 1962 Sa principale
mission est de permettre l’irrigation des plaines du Biterrois et
l’alimentation en eau potable de l’ouest Héraultais ainsi que le sud de
l’Aude essentiellement en période estivale. Il est équipé pour la
production d’énergie électrique et contribue lors de forts épisodes
pluvieux à l’écrêtement des crues. La retenue du barrage des monts d’orb
permet de stocker 30 millions de m3 d’eau. |
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En 1790, le hameau et le château de Cazilhac sont rattachés à la
commune de Lunas nouvellement créée. En 1844, un nouveau découpage
territorial donne naissance à la commune de Saint-Martin-d'Orb (rebaptisée
ultérieurement Le-Bousquet-d'Orb), laquelle comprend désormais le château
de Cazilhac.C'est à cette époque qu'apparaît un nouveau propriétaire,
l'économiste et homme politique Michel Chevalier (1806-1879), dont
l'influence sur le domaine et son exploitation viticole est déterminante.
Soucieux de productivité, Michel Chevalier fait notamment construire un
aqueduc vers 1851 pour alimenter les jardins, irriguer les terres et
amener l'eau à la ferme du château.Les travaux entrepris pour l'adduction
d'eau sont d'ailleurs considérables. Ainsi, Le Messager agricole de
1879 note que « chez M. Michel Chevallier (sic), au château de
Cazilhac, deux pompes conjuguées élèvent 2500 litres d'eau par minute à 30
mètres de hauteur, au moyen de deux conduits en fonte qui ne mesurent pas
moins de 300 mètres de longueur ».À sa mort sans héritier mâle direct
(il est père de quatre filles), son gendre, l'économiste et essayiste Paul
Leroy-Beaulieu (1843-1916), reprend la propriété. Le château de Cazilhac
entre ainsi par mariage dans la famille Leroy-Beaulieu qui le possède
toujours aujourd'hui.
Acheminant les eaux de la rivière Orb à raison de 150
l/s, l'aqueduc du château de Cazilhac est bâti de calcaires, galets et
moellons liés au mortier. Il fait l'objet d'un recensement à l'Inventaire
général du patrimoine culturel. Outre l'irrigation des terres, il alimente
une turbine hydro-électrique. Le courant produit est revendu à Électricité
de France par la SARL Société Hydro Électrique de Cazilhac (HEC)
dont le siège social se situe au château |
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Sur la route qui monte à l'Espinouse, au dessus du
village de Combes, on longe la forêt, sombre, plantée de pins, de
châtaigniers et de chênes. Des allées la traversent. La forêt a été crée
pour diminuer les risques d'inondations dans la vallée, en reboisant les
pentes du massif du Caroux. Les inondations pouvaient y être brutales et
violentes. La forêt porte le nom de Forêt des écrivains
combattants en souvenir du sacrifice de 560 écrivains durant la guerre. Un
monument commémoratif est érigé en haut d'un escalier, particulièrement
raide. |
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Le projet a été monté par Emmanuel Bourcier, écrivain et
ancien combattant, rejoint par un pépiniériste. Francisque Lacarelle, qui planta à ses frais dix
mille arbres. Il s’agit alors de conserver la mémoire d’écrivains morts
pendant la Première Guerre mondiale d'honorer la mémoire des
écrivains morts au cours de la première guerre mondiale. La forêt
s'inscrit également dans un mouvement de reboisement devenu nécessaire
après les inondations catastrophiques de mars 1930. Agrandie à deux
reprises, en incluant des écrivains tombés au cours de la dernière guerre,
la forêt s'étend sur près de 100 ha. L'escalier abrupt conduit sur le
plateau où se trouve un monument commémorant le sacrifice de 560 écrivains
tombés durant la guerre, puis au rond-point Charles-Péguy marqué d'une
croix gigantesque. De là convergent des allées baptisées
Antoine-de-Saint-Exupéry, Apollinaire, Alain-Fournier… Peuplée de cèdres,
de pins, de châtaigniers, elle offre de belles vues sur le Caroux, mais
elle souffre de plus en plus d'un manque d'entretien. Dommage pour un tel
lieu de mémoire ! |
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La succession des, cols des
Princes, des Avels conduit au sommet de l'Espinouse. Elle n'est
pas loin, la grande bleue, mais pour celui qui, après avoir traversé les
châtaigneraies, fait l'effort de gravir le flanc sud de l'Espinouse,
escarpé, abrupt, hérissé d'éperons rocheux, quel dépaysement !
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sur la ligne de partage des eaux entre
Méditerranée et Atlantique, à 1000 mètres d'altitude, la température est
plus fraîche, l'air plus vif et plus pur, la nature plus verte, la
végétation plus luxuriante. D'un côté, sur la commune de Cambon et
Salvergues, l'Espinouse s'étend jusqu'à la source de
l'Agoût et jusqu'au point culminant du département de l'Hérault. |
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L'addition des pluies venues
de Méditerranée, de l'influence atlantique porteuse d'humidité et des
neiges hivernales fait des Monts de l'Espinouse et du Somail le château
d'eau de la région. |
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Les massifs montagneux, culminant à 1 000 m et les plateaux vallonnés
offrent un superbe environnement de forêts, pâturages et villages. Les
vallées sont verdoyantes. Amateurs de panoramas, de balades en pleine
nature, cet itinéraire est fait pour vous !
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De l'autre côté, sur la commune de Fraïsse sur
Agoût, la vallée s'élargit à l'abri des rondeurs du Somail. |
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C'est ici que naît l'Agoût dont les eaux
feront un long trajet jusqu'à l'Océan Atlantique, se mêlant à celles du
Tarn puis de la Garonne. Prenant sa source juste sous le sommet de
l'Espinouse, puis rejointe tout au long de sa course par de multiples
ruisseaux, la rivière Agoût traverse les villages de Cambon et de Fraïsse
pour aller alimenter le lac de la Raviège et une puissante usine
hydroélectrique.Ses eaux pures et fraîches conviennent parfaitement à la
truite fario qui fait le plaisir des pêcheurs et le régal des
gourmets. |
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Situé sur l'actuelle ligne de partage des eaux
Atlantique-Méditerranée, le col de Fontfroide (973 m) met en relation deux
communes de l'Hérault : Olargues (34390) dans la vallée du Jaur sur le
versant méditerranéen, Fraisse-sur-Agout (34330) sur le plateau du même
nom, drainé vers l'Atlantique (Agout, Viau, Vèbre...) je m'arrête
devant le Mémorial de la Résistance, qui rappelle que dans ce Parc Naturel
du Haut Languedoc, les Résistants furent de véritables héros |
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Fraïsse-sur-Agoût, petit village de
montagne séduit tous les visiteurs par sa coquetterie. Ce village
labellisé "4 fleurs" comme la ville d'Alès (Gard) les
seuls du Languedoc Roussillon . A découvrir sans modération
ici
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La salvetat sur Agout,
la commune remonte au Xe siècle, là où se trouvent la
chapelle de Saint Étienne de Cavall et le vieux pont des pèlerins sur la
Vèbre. Pour des raisons de sécurité, les habitants s'installent au XIIe siècle au piton rocheux plus
haut, un lieu de refuge fortifiée, ce qui explique le nom de La Salvetat.
Guillaume de Jourdain La tour médiévale du Cazal défendait les remparts.
On entrait en ville par une des trois portes: la Poterne, le Carretal et
la Portanelle. Malgré ses défenses, la ville a été prise et le château et
les remparts détruit et reconstruit plusieurs fois au cours de l'histoire,
notamment au temps des Cathares et au temps des guerres de religion.
Aujourd'hui, cette commune de 1200 habitants (environ 5000 au
XIXème s.) vit principalement du tourisme et de la
polyculture.En effet, on y élève porcins (charcuterie et salaisons),
bovins (veau rosé …) et ovins (lait de brebis pour le Roquefort),
et depuis 1958, La Salvetat jouit d'un superbe lac, la Raviège ,
sur lequel toute les activités nautiques sont proposées (sauf le jet-ski).
L'arrivée de l'unité d'embouteillage "Salvetat" en 1992 a
également renforcé l'image du village qui est devenu célèbre dans toute la
France grâce à son eau minérale naturellement pétillante!
les visiteurs n'ont que l'embarras du choix en venant ici,
village étape sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle
accueille tous les pèlerins : |
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Sur les hauteurs du Parc Régional du Haut Languedoc
se situe le superbe lac artificiel de Laouzas. Situé à 800 m d'altitude,
entouré de collines verdoyantes, le lac de Laouzas est l'endroit idéal
pour passer des vacances paisibles et profiter des nombreuses activités
nautiques pratiquées sur le lac. Cependant, les sports aquatiques
motorisés ne sont acceptés sur le lac, c'est donc un lieu paisible
entièrement dédié à la nature.Le lac s'étend sur une superficie dépassant
les 300 ha à travers les monts de Lacaune offrant aux baigneurs un
véritable espace de liberté! La base de loisirs du lac propose de nombreux
services aux visiteurs, vous pouvez ainsi y louer du matériel de nautisme
tels que des pédalos, bateaux, canoës, planches à voiles et voiliers. Si
vous apportez votre propre matériel de nautisme un petit port vous permet
une mise à l'eau gratuite. Des campings se sont installés et une aire de
caravaning a été installée pour les campings car avec un accès à de l'eau
potable, un barbecue etc...
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Entrez dans une maison du XVI° siècle et remontez le temps : des outils
et des objets qui ont rythmé la vie quotidienne à la fin du siècle
dernier, des coiffes et des vêtements qui habillaient et qui paraient nos
aïeux. Au fil d’une visite commentée, vous découvrirez, entre autres, la
salle de classe où se sont assis nos élèves d’antan, l’histoire de
l’Enfant Sauvage. |
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La Lacaune est une race
ovine française initialement à aptitude mixte qui comprend aujourd'hui
deux variétés : la Lacaune lait et la Lacaune viande.Le berceau de la
race se situe dans le sud du Massif central, dans une zone de causses
calcaires arides et de prairies d'altitude sur terrain schisteux, au
climat difficile: froid l'hiver, très chaud l'été et balayé par les
vents.Au XIXe siècle, la
population de brebis laitières est variée dans le bassin de production du
roquefort, chaque zone ayant sa préférence pour une race locale. Ce sont
majoritairement des races multi rôle : lait, viande, laine... Dans
les Monts de Lacaune, les éleveurs sont les premiers à prendre en compte
la baisse du prix de la laine : ils orientent alors la sélection de
leur cheptel vers une production laitière de qualité. Ce travail explique
le nom de Lacaune, commune tarnaise, donné à une race dont le bassin
d'élevage couvre plusieurs départements.Les caractéristiques de la race
ont été fixées par arrêté ministériel en 1902. Le premier concours
consacré à la race Lacaune s'est tenu en 1905. Le livre généalogique de la
race (flock-book) a été créé en 1942 après fusion des races
Camarès, Larzac et Lauragaise |
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Le dernier de la journée et
pas des moindres, une légende sur le non du col, qui serait le "col des
trois vents", serait d'une erreur de traduction "très" en occitant veut
dire trois et non treize. |
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Les montagnes du haut
Languedoc
Un morceau de Corse
déposé dans le
paysage®...
Dans l'Hérault, formant les reliefs des Cévennes
méridionales, les massifs de l'Espinouse et du Caroux
connaissent une existence quasi confidentielle. Cela est devenu rare,
un trésor, d'autant que ce Pays magique relève de l'extraordinaire.
Privilège de
la montagne du Haut Languedoc...la bruyère à perte de vue
Imaginez un
morceau de Corse déposé là, au-dessus des vignes de l'Hérault. Avec des
rochers, partout. Avec des landes de bruyères dominées par la
callune, nappant de rose fuschia les crêtes et les escarpements
à peine abandonnés par l'or printanier des genêts purgatifs. Une montagne
coloriée de mai à novembre...
Une
montagne du Haut Languedoc bercée par les langueurs
du climat méditerranéen propice à la châtaigneraie mais, aussi, fouettée
par la sévère Tramontane, le pluvieux vent d'Autan. Une montagne
sillonnée par des torrents hivernaux devenant filets l'été. Une
montagne fendue par la hache des gorges. Colombières, Héric, le
Vialais, Lafage... Des noms à résonnance de balades, de
randonnées... Des noms qui inspirent fortement les amateurs
de paysages, qui nourrissent l'esprit de valeurs essentielles et le cœur
d'émotions car si Caroux et Espinouse sont des massifs sur lesquels on
marche d'abord, Caroux et Espinouse sont aussi des massifs révélateurs de
soi-même. une montagne de
mystères. Une montagne donc, une montagne du Haut
Languedoc provocante, qui défie l'inconnu comme le blasé et surprend
toujours , par ses mystères. Ici, on chemine sur
le sentier des Fleysses (tournant, en Occitan), suivant les trashumants du
néolithique, les réfugiés Cathares et les trafiquants de guerres.
Là, on marche
derrière les habitants du hameau du Vialais, défricheurs entêtés, et l'on
rencontre le mouflon, le sanglier,
gardiens de l'intemporel, qui invitent au silence et au respect.
Une montagne sauvage dont le
"m" qui devrait être majuscule domine le vocabulaire de
ceux qui l'aiment
http://www.montagne-haut-languedoc.com/ |
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