Randonnée
d'Aubord
Dimanche 25 septembre
2016
La Petite
Camargue est une destination de choix « Nature et Terroir » C'est un pays
tout en nuance entre coteaux et marais, vignobles et près, entre traditions et
modernité. Territoire riche en patrimoine naturel et historique, il offre une
multitude d’activités de loisirs, où de visites.
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Du noyau originel construit ne reste que le secteur de la rue de
l’église et quelques mas du XIXe siècle qui se sont construits grâce à la
richesse issue de la viticulture, Mentionnée sous le nom de In Alburno en
879, ce hameau, probable fondation de l’Antiquité tardive dans la plaine
de Nîmes, est de nouveau cité dans les archives de Notre Dame de
Nîmes. il est devenu un centre de l'immigration espagnole des années
1950 et 1960 en Languedoc. Les immigrés venaient principalement de la
région de Murcie. Ils travaillaient généralement comme ouvriers agricoles
dans le domaine Saint-Jean d’Aubord qui fut, jusqu'au début des années
1970, la principale ressource économique d’Aubord. Une partie des
travailleurs immigrés espagnols exerçaient aussi dans les usines Perrier
(source Perrier) à Vergèze. Il existait aussi une immigration italienne
entre 1950 et 1970, mais celle-ci n’y atteignait pas les dimensions de
l’immigration espagnole. À partir de 1970 cette immigration européenne fut
rattrapée par une immigration maghrébhine, surtout en provenance du Maroc.
N'oublions pas les rapatriés d'Afrique du Nord (les
« pieds-noirs ») qui, à partir de 1962 (indépendance de
l'Algérie), ont formé une communauté qui a été fortement implantée à
Aubord.
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De beaux parcours de 20 à 100 km de
difficultés moyennes ont permis au particpants(es) de pouvoir choisir en
fontion de sa forme et de ses envies. |
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Sur les traces de voie romaine. Sépultures
gallo-romaines.Fortifications élevées au 16ème. Tours des anciennes
fortifications 16ème. Fontaine monumentale, sur la place publique.
Clarensac, dont l’origine serait un domaine agricole de l’époque
gallo-romaine, un village de la Vaunage qui présente un plan du Moyen-Age
bien mis en valeur.Clarensac est à l’émergence de ” caps ” et de collines
en puechs qui dominent ou s’avancent dans la plaine, enrichissant les
ambiances en faisant varier les échelles de perception : large plaine
autour de Clarensac, resserrement entre les avancées du roc de Gachone et
du Puech de Montceau et celles du Roque de Vif, longue plaine étroite de
Congénies. Ces points topographiques particuliers gardent traces
d’occupation humaine ancienne : oppidum de Nages, oppidum de Mourressipe,
sépultures de Cante-Perdrix, moulins à vent, … |
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L’empègue est un petit dessin réalisé au pochoir autour des
portes des maisons, dans certains villages du sud du département du Gard,
. La tradition de l'empègue semble propre à cette zone géographique, dans
des villages où les traditions taurines camarguaises sont très marquées.
L'étymologie du mot est occitane, « empeguar »
signifiant coller. Ces dessins sont réalisés par les jeunes du
village, les Abats, dans le cadre des aubades qui sont une
tradition des fêtes votives des pays de la Petite Camargue, des Costières
et de la Vaunage Au début du XXe siècle, il
s’agissait de fêter le départ pour le service national des jeunes hommes
qui venaient d’avoir 18 ans. C’étaient les conscrits de « la
classe » d’âge. La tradition des aubades se perpétue aujourd'hui
encore, bien que la conscription n’existe plus. Ces pochoirs sont plus
ou moins directement liées à la culture taurine et à la course
camarguaise. Le dessin est accompagné des lettres VLJ et de l'année
de la classe d'âge. VLJ signifiant Vive La Jeunesse ou
encore « Viù Lo Joven » en occitan. Les motifs choisis
reprennent les armes des manades locales (croix camarguaise, tête avec
trident, crochet de raseteur, …), des animaux emblématiques de la Camargue
(cheval, taureau, flamant rose) ou toute autre représentation de la
bouvine ; l'empègue peut également évoquer un évènement
marquant de l'année en cours, pour l'immortaliser. |
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Le réseau routier gardois s'améliore pour la pratique
du vélo, depuis la création de l' association Partageons la Route en
Cévennes qui à su convaincre de l'utilité des "surlageur" nous les voyons
appraitre dès la refection de chaussées et quelque fois le gâteau sur la
cerise elles sont relévées en couleur. |
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Ne pas si méprendre, même si elles disposent de
belles cornes, ce n'est pas la race Camargaise !!!! |
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Les deux côtes bien connus des Nîmois sont celle de Claransac et
de Saint-Côme qui nous permet de changer de plaine et arrivé dans la
Gardonnenque, nom attribué en général au bassin du Gard au pied des
Cévennes, et plus spécialement au petit pays des Garrigues traversé par le
Gardon dans son cours ouest-est en amont de Remoulins, entre Nîmes et
Uzès. . La Gardonnenque a plus d'ampleur un peu en amont dans la plaine de
Saint-Chaptes, riche en vignes et vergers. Le collège de Brignon dans le
canton de Vézénobres porte le nom du pays, ainsi que la coopérative de sa
voisine Cruviers-Lascours, une usine spécialisée dans le traitement des
dérivés du raisin, marcs, lies et moûts, fournis par 6 000 vignerons
. On nomme parfois Haute-Gardonnenque les vallées en amont d'Anduze,
Moyenne-Gardonnenque la plaine entre Anduze et les Garrigues. |
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Il n'y a pas de bonnes orgnanisations sans les
Bénévoles qui ont donné sans compter, le café, l'accueil, le balisage, les
ravitaillements et la convivilité à l' arrivée pour une journée bien
réussie. |
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A l'an
prochain |
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