Assemblée
Générale Samedi 10 janvier
2015
|
|
C'est dans
les locaux de l'Office Municipal des Sports de la ville d'Alès siège de
l'association que c'est déroulé le premier rendez-vous de l'année pour
faire le bilan de l'année écoulée, qui a été riche en événement présenté
sous forme diaporama à permis aux nouveaux venus de s'
apercevoir de la richesse des activités
proposées. L’organisation le AG du comité Départemental du Gard
en janvier après 30 ans d'absence dans la Capitale des Cévennes, le
premier brevet des 100 kms cévenols en juin ainsi que la concentration de
tandems en Cévennes qui à réuni 7 départements et 4 nationalités:
américaine, japonaise, irlandaise et allemande et pour clôturer la
randonnée féminine du Codep30. Le gros projet 2014
fut l’ouverture du vélo école adulte une première dans la région. Une autre
population à laquelle il a fallu tout réapprendre, en 10 séances les stagières ont pu renouer à
la pratique du vélo urbain.
L’assemblée a
pu délibérer confortablement la quasi totalité de ses adhérents étaient
présents une belle satisfaction pour le comité directeur que Denis
Dumas viendra renforcer pour le vélo école. L'association peut
entamer l'année 2015 avec une certaine sérénité pour plancher sur les
nouveaux projets.
|
|
|
|
Dès fin
février la réouverture du vélo école adulte plus élargie, en juin une
journée « Vélo pour tous » qui intègrera le brevet des 100
bornes cévenols pour les sportifs, un parcours pour les randonneurs ainsi
qu’une cyclo-découverte pour les familles La présidente du
Comité Départemental de cyclotourisme du Gard Ghislaine Charton venue honorer
de sa présence notre AG, a sollicité nos deux moniteurs pour reprendre le
séjour cyclotouriste organisé par le codep suite à l’absence d’Antoine
Boug-Rius en 2016, notre président participera à ce séjour en 2015 afin
d’étudier cette éventualité qui permettra de finaliser nos objectifs que
nous nous étions fixés pour développer le tourisme à vélo.
Un prévisionnel d’activité 2015 a été présenté aux adhérents avec le point
d’orgue la semaine fédérale internationale de cycltourisme à Albi début
aout .Tous les bilans ont été voté à l'unanimité avec ce qui est rare
une bonne participation des adhérents, le comité de direction peut
dès à présent se remettre au travail. |
|
|
|
|
|
|
|
Après le
protocole tous se sont retrouvés autour de la traditionnelle Galette des
rois. La tradition veut qu’elle
soit l’occasion de « tirer les rois » à l’Épiphanie : une
fève est cachée dans la galette et la personne qui obtient cette fève
devient le roi (ou la reine) de la journée et a le droit de porter une
couronne de fantaisie.dans la seconde moitié du XXe siècle, les boulangers fournissent
avec la galette une couronne en papier doré à usage unique. Plus
traditionnellement chaque famille réalise et conserve une ou plusieurs
couronnes artisanales. Il est dit que le bénéficiaire de la fève doit
offrir la prochaine galette, cependant, aucune source fiable ne permet
d'affirmer ou d'infirmer formellement cette
tradition |
A Gauche, Ghislain Charton Présidente du
Codep 30. et Corine une de nos féminines |
|
|
|
|
|
Les gâteaux à fève n’étaient pas
réservés exclusivement au jour des Rois. On en faisait lorsqu'on voulait
donner aux repas une gaieté bruyante. Un poète du XIIIe siècle, racontant une partie de
plaisir qu’il avait faite chez un seigneur qui leur donnait une généreuse
hospitalité, parle d’un gâteau à fève pétri par la châtelaine :
« Si nous fit un gastel à fève ». Les femmes récemment
accouchées offraient, à leurs relevailles, un gâteau de cette espèce.Lors
des Saturnales (fêtes romaines sur la fin du mois de décembre et au
commencement de janvier), les Romains désignaient un esclave comme
« roi d’un jour ». Les Saturnales étaient en effet une fête
d’inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne,
divinité chtonienne. Au cours du banquet (au début ou à la fin des
Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique au sein
de chaque grande familia, les Romains utilisaient la fève d’un
gâteau comme « bulletin de vote » pour élire le
« Saturnalicius princeps » (Maître des Saturnales ou Roi du
désordre). Cela permettait de resserrer les affections domestiques et
donnait au « roi d’un jour » le pouvoir d’exaucer tous ses
désirs pendant la journée (comme donner des ordres à son maître) avant
d’être mis à mort, ou plus probablement de retourner à sa vie servile à
l’issue de celle-ci. Pour assurer une distribution aléatoire des parts de
galette, il était de coutume que le plus jeune se place sous la table et
nomme le bénéficiaire de la part qui était désignée par la personne
chargée du service (d’où l’usage toujours vivant de « tirer les
rois ») |
|
|
|
|
|
|
|
Pauline et Laurent la reine et le roi
2015 de l'association!!!!!!
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|