Assemblée Gégénrale de l'Amicale des Cyclos Tandémistes.

Cette année l'organisation, avait pris la direction du sud, exactement au nord d'Albi à Cap découverte

Toute la famille des cyclos Tandems se sont donnés rendez-vous sur le site de  Cap découverte au nord d'Albi  pour l'assemblée Générale 2013. nous en avons profité  pour découvrir la région, un avant gout de semaine fédérale que se déroulera en     2015                                                                                                              
     
 

Nous allons découvrir ce pays minier avec notamment la visite exceptionnelle de la maison du polonais à Cagnac les Mines, mais aussi la vie  de ces  des habitants du Ségala.

Située au cœur de la cité des Homps, cité ouvrière construite dès 1920 pour loger les mineurs polonais venus combler un déficit de main d’œuvre, la maison du polonais est le témoin d’une vie quotidienne dure et spartiate, avec sa cave à charbon sous l’escalier du porche, sa planche à laver, l’évier de pierre, la cuisinière à charbon, les belles broderies faites par les femmes.
 
Toile du peintre bordelais William Julien Emile Edouard Laparra (1873-1920), exécutée en 1905, exposée la même année à la Société des Artistes français et en 1906 à la Villa Médicis à Rome. Offerte par l'artiste au Syndicat de la Verrerie ouvrière d'Albi, elle est installée dans la bibliothèque de la verrerie avant le 20 avril 1910, date inscrite sur une carte postale la représentant. L'oeuvre serait inspirée, d'après Annick Bergeon, d'une pièce de théâtre contemporaine : " Les Etapes de Jacques Bonhomme ", d'Adolphe Maujan.
En réalité, derrière l'expression « Jacques Bonhomme », les sources de l'époque désignent l'ensemble des révoltés de la Grande Jacquerie. Elle vient de l'ancien français « jacques », qui désigne les paysans, par synecdoque, du fait du port d'une veste courte du même nom, la « jacque ». La chronique de Jean de Venette précise que ce sobriquet de « Jacques Bonhomme » fut attribué par les nobles aux paysans, pour les tourner en ridicule.
Le Castelnau, Coiffant un sommet, est un château clos, aux murs épais et aveugles, percés d'une seule ouverture avec pont-levis qui abrite des maisons à l'intérieur de ses murs et, ici, sur les pentes de la colline.En cas d'attaque, le château fournit son imprenable refuge.Au milieu du XIIIème siècle, la fondation d'un Castelnau, village accompagnant un château perché sur un « puy », était une survivance. L'agglomération ne pouvait que s'accrocher aux flancs de la colline, au-dessous de la forteresse, et son développement en était rendu d'autant plus difficile. Il s'agissait donc d'un archaïsme à une époque où se multipliaient les bastides, villes de plaine dotées d'un plan régulier. Seules des raisons d'ordre militaire et politique, jointes à l'exploitation des péages de Saint-Sulpice et Saint­Géry, ont justifié une telle création qui n'a d'ailleurs jamais pris beaucoup d'ampleur, demeurant dans l'ombre du château.
La cité nouvelle de Bonnafous, étagée sur une pente, couronnée par un château, a le corps d'un castelnau mais aussi ce qui caractérise une bastide en dehors de son plan précis autour d'une place à couverts : l'esprit qui l'anime et la charte des franchises qui règle sa vie dans ses moindres détails  

Le 17 janvier 1235, Raymond VII, comte de Tou­louse, concéda en fief à un de ses familiers, Sicard Alaman, un territoire assez vaste entourant la colline appelée le Puy de Bonafous, à charge pour celui-ci d'y construire un château et un village dont les futurs habitants seraient exemptés de toutes impositions, à l'exception de « l'albergue » pour cent chevaliers et des services « d'ost » et de « chevauchée »

Cette opération était bénéfique pour les deux parties. Raymond VII, qui avait dû céder au traité de Meaux en 1229 une bonne part de ses possessions au roi et notamment la rive gauche du Tarn face à la nouvelle fondation, y voyait un moyen d'affirmer son autorité : l'installa­tion d'un point d'appui fortifié permettait de surveiller la plaine du Tarn et l'une des voies d'accès à la ville d'Albi.
Situé sur les coteaux de l’Albigeois entre Gaillac, ville du vin, et Albi, ville natale du peintre TOULOUSE-LAUTREC, le CHATEAU DE LACROUX, exploitation familiale de 38ha, perpétue la tradition des vins de GAILLAC depuis dix générations. En effet en 1700 Jeanne et Guillaume Derrieux, Laboureurs, cultivaient déjà les coteaux de Lincarque, puis l’exploitation se transmit de père en fils. Au début du XX ème siècle Philippe et Baptistine oeuvraient pour lutter contre le phylloxéra. Et puis vint Bertin-Laurent qui transmis à son fils Pierre qui avec l’aide de Marguerite, a reconstruit le vignoble pour le transmettre à la nouvelle génération dans les années 80.

Maintenant Philippe, Jean et Bruno DERRIEUX vinifient et élèvent leurs vins, en recherchant le caractère authentique de l’appellation GAILLAC.Vendanges après vendanges, ils ont su préserver et améliorer le vignoble du Château de LACROUX. Privilégier la qualité, limiter la production, respecter l’environnement, laisser le temps nécessaire à l’élevage des vins, pour mieux exprimer la typicité des cépages qui ont fait l’histoire de l’appellation GAILLAC, tels sont les engagements qu’ils prennent pour qu’à chaque bouteille vous en reconnaissiez la signature. Fidélité au terroir, mémoire de plusieurs siècles de labeur, autant d’histoires d’amour entre la terre, la vigne et les hommes pour vous offrir tout l’art de vivre du Sud-Ouest.

Durant l’année 2002-2003 a eu lieu un changement de l’étiquette de la gamme de tous les vins avec appellations des vignes empruntées aux lieux dits des diverses parcelles de l’exploitation.

» Vigne du Castellan pour le rouge

» Vigne du Baronnet pour le Blanc Sec

» Vigne du Rey pour le Blanc Doux

» Vigne du Rial pour le Rosé

» Vigne de Blazy pour la Méthode Traditionnelle brute

En 2002 ils ont  élaboré un nouveau produit effervescent à base de Mauzac en méthode Gaillacoise (sucre résiduel de raisin et sans liqueur de tirage) qui sera un demi-sec ou l’on retrouvera toute la subtilité des arômes de pomme du Mauzac mais aussi un goût de jus de raisin frais.

Rencontre avec les TITANS

Excavateur à roue pelle et sauterelle, pour creuser la fosse, bulldozer, pelle Liebher et Caterpillar, ou encore l'unique «Bucyrus», la plus grosse pelle-butte utilisée en Europe (godet de 20m3), et l'Haulpack 510, appelé aussi 140 tonnes, avec ses roues hautes de 3m et sa benne de 54m3, l'histoire du site et de ces géants qui ont  servi à creuser la mine à ciel ouvert

Une belle prestation de Marie-France qui nous a animée toute la soirée avec un beau répertoire qui à fait danser les plus téméraires avec de franches rigolades
La belle interprétation de l'hymne aux tandems.

Les membres du bureau ont présenté les activités de l'année écoulé, les divers bilans ont été voté à l'unanimité, les comptes rendus des diverses activités, Randonnées, concentrations et voyages. La présentation du calendrier 2014 présenté par les organisateurs à donnée un aperçu de la multitude de manifestations des cyclo-tandems sur tout l'hexagone.
Après la clôture de l'AG tous ce sont retouvés autour de la table pour le moment de convivialité,  avant de nous retrouver en 2014 sur les routes de france.