Causses & Cévennes
Jeudi 16 mai 2019
Les Causses et les Cévennes ont été inscrits en 2011, par le comité du
Patrimoine mondial de l’UNESCO, sur la liste prestigieuse du
patrimoine
de l’humanité, dans la catégorie des « paysages culturels évolutifs
vivants », au titre de l’agro-pastoralisme
méditerranéen.
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Au départ de Ganges, tout au long de notre balade,(115
km) chacun a pu découvrir les Causses et les Cévennes
dans un cadre naturel grandiose, une diversité de paysages
méditerranéens façonnés par l’homme depuis des
millénaires.
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Les Cévennes
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La Vis, sera le fil conducteur de notre balade, rivière
d'une longueur de 57,8
km qui
prend sa source dans le Parc national des Cévennes près du col de
l'Homme-Mort dans le département du Gard. Elle traverse notamment Alzon où
les eaux s'infiltrent au moulin de Larcy. Ensuite son lit reste sec dans
de profondes gorges entourant le causse de Blandas, le séparant du causse
de Campestre puis du causse du Larzac. |
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Situé à la frontière de l'Hérault et sur le
passage de La Vis, en pays viganais, le petit village de Saint-Laurent Le
Minier est un havre de paix bien à l'abris des tracas du quotidien.
Evidemment, les inondations de septembre dernier sont dans tous les
esprits, et la commune en garde encore quelques stigmates. Mais, rien n'a
abîmé le charme de ses habitations coincées entre le Crenze et le Naduel,
deux rivières qui divisent la Vis. À l'entrée du village, un pont -
construit au 15 ème siècle - sépare d'un côté le château du 17 ème siècle
et de l'autre, une cascade qui surplomb quelques coins d'ombres
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C'est avec une image touristique de la cascade sur la Vis que
commence l'ascension du col des Ayres la traversée du village de St
Laurent le Minier, puis sauter le pont sur un ruisseau.après 1 km on
attaque sèchement dans la châtaigneraie une pente supérieure aux
6%. Le répit ne sera atteint qu'au col des Aires où se trouve le
hameau de St Bresson. puis une plongée vertigineuse sur Le
Vigan. |
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Au col des aires à 500 mètres d’altitude,
Saint Bresson offre un panorama exceptionnel sur la vallée de la Vis, la
plaine de Ganges, le massif de l’Aigoual, les reliefs calcaires des roches
de la Tude et du Pic d’Anjeau. |
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Destination
MARS Le village est situé dans les Cévennes
gardoises à quelques kilomètres à l'ouest du ViganCe petit village compte
moins de 200 habitants
, des
Marsiens À Mars, vous l'avez compris, vous êtes dans le Gard mais sur une
autre planète une Hameau de
moyenne montagne en périphérie du parc national des Cévennes à 7 km du
Vigan,
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Mars est un bourg isolé. Un coin de calme
entouré de chaines et de châtaigniers, située sur une ancienne voie de
passage descendant du col de Mouzoulès vers la vallée du Coudoulous. Le
village a conservé un habitat traditionnel en hameaux avec ses maisons
bâties en granit et en schiste. Mars conserve toutefois cette
originalité, très marquée par les conflits religieux, la commune de ne
posséder ni église, ni temple. Elle fut longtemps la plus petite commune
du Gard avant quelle fusionne au 1er janvier
2019 avec les communes
de Bréau-et-Salagosse |
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Le col de Mouzoulès se trouve dans les
Cévennes, près du Vigan (Gard), sur la route
départementale 299/336 menant de Mars à Aumessas. Situé sur la
commune de Mars, ce lieu offre un vaste panorama sur les versants
méridionaux de la montagne du Lingas. C'est peut-être cette situation
privilégiée qui suscita l'édification d'un menhir sur une plate-forme à
proximité du col |
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Historique :
Les assemblées étaient fréquentes dans les arrondissements
d'Aulas et Aumessas et les dragons n'arrivaient pas à les surprendre. Mais
le dimanche 29 avril 1742 une assemblée protestante se tint au col de
Mouzoulès et fut surprise par les dragons. "du Désert cévenol
pourront jaillir encore les plus nobles accents, les accents renouvelés
des psalmodies anciennes dont le rythme entraînant menait leurs pères
héroïques aux victoires de la foi." |
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Aumessas à une altitude de 346 mètres au Pont d'Arre, de 465 mètres au cœur
du village, de 1363 mètres au col des Pises et de 1445 mètres à la Lusette
soit environ 1 100 mètres de dénivelé. Le paysage est
très diversifié : vallées, châtaigneraies, landes à genêts. Le village est
bâti en amphithéâtre, les quartiers sont nettement séparés les uns des
autres. La population est de 240 âmes au dernier
recensement. Sur la place de l'église se dresse une fontaine
monumentale appelée "griffe". La date précise de son édification n'est pas
connue. Un document ancien atteste de sa présence en 1717. Sous l'Ancien
Régime , une personne, chargée de son entretien, percevait des gages de la
commune (10 livres en 1737). Par la disposition des constructions et leur
intégration au paysage. Les maisons sont serrées les unes contre les
autres. Ruelles et venelles qui permettent la circulation sont très
étroites et généralement en pente. Autrefois, elles étaient caladées
c'est-à-dire revêtues d'un dallage en galets de rivière. De nombreux
passages voûtés ou porches sont visibles dans chaque quartier. |
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Entre vallée et montagne, des rives de
l'Arre jusqu'au col de l'Homme Mort, la commune d'Arrigas
déroule ses mas accrochés aux pentes couvertes de châtaigniers, où des
petites routes parcourus depuis des millénaires mènent
le cyclotouriste à la découverte de sites et de lieux
remarquables. L’église Saint Genest, reconstruite au XVIIème
siècle, abrite de nombreux éléments d’époque baroque ainsi qu’un tableau
représentant Saint Guiral, un des héros de la légende des trois ermites,
très répandue en Cévennes. Récemment rénovée, l’église d’Arrigas est un
exemple unique de préservation du patrimoine religieux catholique en
Cévennes viganaises
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Une variante inattendue Le tunnel routier d'Alzon étant
fermé pour causse de travaux nous imposait de prendre la déviation avec de
forts pourcentages pour arrivée sur le lieu du pique-nique |
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Au
coeur de la haute Vallée de La Vis, à proximité du mont Saint-Guiral
(1365m), dans une zone où se rencontrent calcaire, granit et
schiste, Alzon bénéfi cie d'une position privilégiée. Lieu
d'étape sur route royale d'Aix à Montauban. Le village marque
la transition entre les Causses et les Cévennes. Préservé des
dommages d'un urbanisme non maîtrisé..... . |
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.........il a conservé ses rues typiques
et pour grande part, ses façades anciennes. Son petit
patrimoine a été réhabilité et valorisé grâce au Plan
Patrimoine Emploi. Une partie de la commune est située en zone
coeur du Parc National des Cévennes. Une association et des échanges
entretiennent l'amitié avec les îles Chatham
(Nouvelle-Zélande) puisque Alzon possède la particularité d'être le
seul endroit de France auquel corresponde une terre habitée aux
antipodes |
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Les Grands Causses
Ni vallée, ni montagne, les Causses sont un monde à
part.
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Puis les Cévennes font places aux
causses et en haut d'une montée exisgente on apprécie de fort jolies vues.
vers le ... |
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La ligne de Tournemire - Roquefort au
Vigan est une ancienne ligne ferroviaire Cette ligne a été
déclarée d'utilité publique à titre d'intérêt général par la loi du 8 août
1879 (2e section de la
ligne d'Alby au Vigan). Elle a été concédée à titre définitif à la
Compagnie des chemins de fer du midi par la loi du 20 novembre 1883 Elle a
été mise en service le 24 août 1896 par la même
compagnie. La ligne a été fermée au trafic des voyageurs en 1939 et
au trafic des marchandises en plusieurs étapes : 1952 : section
de L'Hospitalet-du-Larzac à Avèze - Molières.1960 : section de
Tournemire - Roquefort à L'Hospitalet-du-Larzac. 1971 : section
d'Avèze- Molières au Vigan.
La
section L'Hospitalet - Sauclières est neutralisée en juin 1951, suivi de
la section Sauclières - Avèzes en mai 1952. Cette
section est reposée par l'armée à partir de 1979 dans le cadre de
l'extension du camp militaire du Larzac. L'abandon de ce projet en 1981
interrompt brusquement les travaux alors que le rail n'était qu'à 1,5 km
de la gare de l'Hospitalet. De nos jours, le tunnel de Tournemire, le plus
long de la ligne avec ses 1885 m, est utilisé par l’Institut de
Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) qui mène des études sur le
stockage des déchets nucléaires. Depuis 2001, En 1999 nait une idée
originale d'utilisation de la voie posée par le 5eme Génie pour y faire
circuler des vélorails entre les gare Sainte-Eulalie-de-Cernon et Le
Rouquet sur presque 5km. En 2001 l'exploitation commence sur un premier
parcours dit "des papillons". Depuis, avec la rénovation des gares de
Sainte-Eulalie-de-Cernon (2003), et de La Bastide-Pradines (2009), le
parcours s'est allongé et court du Tunnel du Pradé jusqu'au Rouquet sur 16
km. Les vélorails partagent les trajets avec un train navetteur, ou avec
le LARZAC-EXPRESS |
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Campestre est ue commune qui s'étend sur
38,1 km² et compte 103 habitants. Situé à 778 mètres d'altitude, la
Rivière La Vis, la Rivière La Virenque, le Ruisseau d'Airoles sont les
principaux cours d'eau qui traversent la commune de Campestre-et-Luc.
Située aux confins de trois départements, Le gard, l' Hrault et
l'Aveyron la commune est traversée par des quelques
routes idélaes pour randonnée à vélo permettant notamment de relier
les sites classés que sont le Cirque de Navacelles et la Couvertoirade,
tout en profitant de paysages variés et de beaux points de vue. |
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L’activité économique traditionnelle est
principalement liée à l’agriculture. L’élevage des brebis pour la
production de lait et la fabrication de fromage représente l’essentiel de
l’activité agricole même si l’on assiste au développement de l’élevage
bovin. De nouvelles formes d’utilisation de l’espace se sont développées
depuis quelques années en relation avec les activités de pleine nature. Le
paysage est dessiné par un relief de collines et une végétation où
dominent le buis et le chardon bleu, mais surtout l’emblématique
Cardabelle, que l’on accrochait autrefois sur les portes des maisons et
bergeries. |
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Jusqu’à la fin du XIXème siècle, le lait
étant difficilement transportable, les fromages étaient souvent fabriqués
sur place et mis en cave dans des grottes plus humides et plus profondes
transformées en fromagerie. Aujourd’hui, les éleveurs de brebis de
Campestre et Luc fournissent le lait nécessaire à la fabrication du
Roquefort. Il s’agit de brebis de race Lacaune, uniques productrices du
lait destiné au fromage Roquefort. Les élevages sélectionnés se trouvent
dans un rayon de 100 km de la commune de Roquefort. |
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C’est le cas de
l’abîme Saint Ferréol (hameau du Luc) qui fut aménagé en cave d’affinage.
Ce sont les jeunes détenus de la colonie pénitentiaire installée sur le
domaine du Luc qui y travaillaient, le but étant de les moraliser par le
travail agricole.Un b
agne, le mot est fort. Officiellement
à Campestre-et-Luc a été créée en 1856 une colonie pénitentiaire agricole
pour mineurs délinquants. Un bagne dans les
faits. En 1884, la production fromagère
obtient même une médaille d’Or à Paris. Mais la tentative de la fromagerie
et cave échouent face à l’expansion au même moment de la « Société »
Roquefort.
Histoire de la colonie pénitentiaire du
Luc http://bvemagenta20.blogspot.com/2018/10/le-bagne-pour-enfants-de-luc.html
Mémoire à lire
impérativement http://akela.wifeo.com/le-bagne-des-enfants.php
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Le paysage actuel du causse est aride
et désert, donnant souvent l'impression d'un désert de pierres clairsemé
d'une maigre végétation et entrecoupé de creux cultivés, les dolines, et
de quelques zones où domine la forêt. Avant les premières interventions
humaines le causse était boisé de genévriers, de pins sylvestres, de
chênes blancs et de buis. Différentes phases d'exploitation de la forêt à
partir du Néolithique ont provoqué une forte diminution du recouvrement.
La forte population du XVIIIe siècle a provoqué une mise en
culture de presque toute la surface du causse qui a ensuite régressé avec
l'apparition du système ovin laitier au XIXe siècle puis l'exode rural au
XXe siècle. |
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Le Caussenard, pour défricher ses champs, devait d’abord
enlever les pierres. Elles s’accumulent en bordure des surfaces
cultivables pour former des clapas, des murets ou des caselles bâties par
les bergers pour abris ou remise à outils. L’habitat est regroupé en
hameau, souvent construits à flanc de colline, face au midi et ainsi
protégé du froid vend du nord. Il répond à divers types de nécessités :
l’agriculture céréalière, l’élevage ovin, l’autarcie, la protection, le
manque d’eau. Bâtiments annexes : four à pain, étable, pailler, écurie
construits sous voûtes. Aire à battre et lavognes (marre dallées ou
argileuses qui captent les eaux de pluie pour abreuver les troupeaux)
complètent la ferme Caussenarde. Terre de religion, a vu l'un des siens
rejoindre la papauté (Urbain). Région d'affrontement avec les protestants
cévenols, le Gévaudan était Catholique. Aujourd'hui nombre de croix
jalonnent les chemins et villages des Causses et des Gorges. De pierre ou
de fer elles aidaient le voyageur en déshérence et marquaient les
territoires de la ferveur locale. |
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Le fief
de Sorbs fut très tôt une coseigneurie et devait le rester jusqu'au milieu
du XVIIe siècle. Le château dans son aspect actuel est une construction de
la seconde moitié du XVIe siècle ou, au plus tard, du début du XVIIe
siècle. C'est un bâtiment formé de trois corps de bâtiments disposés
autour d'une cour intérieure, fermée sur son quatrième côté par un mur de
clôture couronné par un rang de mâchicoulis qui en défend l'entrée. Au
revers de ce mur, deux galeries à balustres superposés, permettaient la
communication, à deux niveaux, entre les ailes du château. La galerie
supérieure, dont le sol devait être un plancher, a disparu. Elle jouait le
rôle de chemin de ronde. Ces deux galeries sont portées par des arcades à
cintre surbaissé. Au fond de la cour, dans l'axe du corps central, s'ouvre
la porte d'entrée du château, encadrée de pilastres plats et surmontée
d'un fronton rompu au centre duquel règnent les armes de la famille de La
Treilhe. Un escalier à volées droites et rampe sur rampe à balustres,
assure la distribution des étages. Quatre tours d'angle, cylindriques,
cantonnent l'ensemble, les tours nord et nord-ouest ayant en grande partie
été détruites ou arasées. |
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Vissec est une commune du Gard,
située entre trois causses : le Causse du Larzac, le Causse
de Campestre et le Causse de Blandas.
Ce beau village, situé dans
les Gorges de la Vis, en amont du Cirque de Navacelles, tire son
originalité de sa rivière, la Vis, qui ne coule que lors de fortes pluies.
Elle s’infiltre à Alzon pour ressortir en aval de Vissec, à la source de
la Foux ; les moulins situés à cette résurgence sont un lieu de
promenade bien connu ; ils abritent une exposition permanente qui
retrace des siècles de civilisation caussenarde et donnent une information
complète sur la Commune. L’agriculture traditionnelle caussenarde assure
sa continuité dans la production de lait pour Roquefort et la
Bergerie de La Baute propose ses fromages et yaourts de brebis. Dans
les Gorges, l’élevage caprin renoue avec la tradition ancestrale de
fabrication du pélardon au label AOC.
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Très apprécié par les cyclistes de passage avant la montée sur Blandas
la « Fontaine de
Janette » Un hommage
pour sa défunte cousine
souhaité par un cousin et réalisé par la Commune de
Vissec... |
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La
montée de Vissac à Blandas 7km, moyenne 5,5, maxi 7% Le début
de la montée est à 7%, sur 4km, ensuite la route est vallonnée, avec une
petite descente vers Blandas, ce cirque est beaucoup moins touristique que
le cirque de Navacelles,
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Vissec, et son
étrange rivière; La Vis pénètre et
disparait à Larcy dans une roche calcaire très perméable dans le secteur
des causses où son écoulement devient totalement souterrain sur plus de 10
km dns le serteur de Vissec
Ce réseau
coule en souterrain avant de ressurgir en flots bouillonnants aux sources
résurgentes de la Foux (Vissec – Gard) qui s’est enrichi d’affluents
souterrains dont la Virenque qui coule en sous sol. La rivière s’écoule
dans le cadre somptueux du cirque de Navacelles avant de poursuivre son
parcours dans les gorges profondes taillées dans un plateau calcaire où
les faciès d’écoulement sont extrêmement
rapides.
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Malgré son
apparence plutôt hostile, le causse a été peuplé très tôt. Les premiers
hommes ont occupé les grottes des vallées puis ont utilisé les
plateaux pour leurs troupeaux. Avec les roches calcaires, ils ont fabriqué leurs
outils et leurs armes ainsi que les monuments mégalithiques. On en trouve
en très grand nombre sur le causse de Blandas, sous forme de dolmens
et de menhirs. |
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Dans les Causses arides du Larzac au nord, de Blandas et
Campestre au sud, la Vis a creusé un impressionnant sillon de verdure,
dominé en son cœur par une colline reconnaissable entre toutes. Certains
lui ont donné l’appellation de « Rocher de la Vierge », les
cévenols lui préfèrent le surnom d’« Huître », en référence à sa
forme oblongue. Ainsi est le Cirque de Navacelles, curiosité
géologique façonnée par 600 000 ans de patient labeur. Du haut des trois
Belvédères de Blandas le panorama offert sur l'un des plus grand
canyon d’Europe, profond de 300 mètres, est aussi saisissant que le
contraste proposé par le paysage environnant. La montée vers le plateau
est à elle seule unique. Entre chaos dolomitiques et étendues désertiques,
les steppes caussenardes offrent au visiteur ébahi un dépaysement
insoupçonnable. Vertigineux ! |
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Le soleil et les fleurs étaient de
sortie, et nous aussi ! Voilà longtemps que je voulais faire découvrir un
site naturel et exceptionnel que sont les Causses & les Cévenes . Ce
fut notre première sortie de la saison avec au programme 115
km une belle journée ensoleillée et des panoramas à couper le souffle
! Notre
parcours ICI
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